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Cine Borat
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29 décembre 2011

Ma chère poupée adorée

dolly_dearest

genre: épouvante, horreur (interdit aux - 12 ans)
année: 1992
durée: 1h40

l'histoire: Une famille américaine s'installe au Mexique pour fabriquer des poupées. Mais leur entreprise se trouve être trop proche d'une tombe du Diable et les poupées sont rapidement possédées par un esprit maléfique.

la critique d'Alice In Oliver:

Il faut bien le reconnaître, le premier Chucky, à savoir, Jeu d'Enfant reste l'une des références en matière de poupée tueuse et sadique.
En même temps, ce film d'horreur influencera toute une série de bisseries redoutables de nanardise. Au hasard, on citera la saga Puppet Master ou encore la Revanche de Pinocchio.

Autant dire que le genre reste tout de même sérieusement limité. Pourtant, parmi cette galerie de films peu recommandables (pour être gentil...), une série B horrifique se détache sérieusement du lot.
Il s'agit de Dolly Dearest, réalisé par Maria Lease en 1992. Clairement, ce film a priori sans prétention peut se targuer d'être au même niveau, si ce n'est supérieur au premier Chucky.

Une fois encore, le scénario est plutôt basique (en même temps, c'est le genre qui veut ça...). Une famille installe une fabrique de poupées dans un endroit maléfique. Et leur petite fille s'éprend de sa nouvelle poupée.
Malheureusement, le jouet est évidemment habité par un esprit diabolique et ne va pas tarder à semer la terreur.

Malgré un scénario (encore une fois) des plus simplistes, Dolly Dearest tient parfaitement la route. Le mérite revient évidemment à la poupée psychopathe de service, cette dernière représentant pourtant une belle gentille fillette qui se transforme rapidement en monstre dégénéré. Et, en la matière, Dolly Dearest délivre largement la marchandise et son lot de séquences efficaces. Le film est assez rythmé et peut se targuer d'instaurer une certaine atmosphère d'angoisse et de tension.
Vous auriez tort de passer à côté en tout cas !

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