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23 janvier 2014

"L'ère de Souther"

HokutoNoKen-RaohGaidenJunai-hen

 

genre: post-apocalyptique, animation (interdit aux - 12 ans)
année: 2006
durée: 1h40

l'histoire: Après une guerre atomique, l'humanité erre dans un monde post-apocalyptique où la désolation et la violence règnent sans partage. Dans ces terres désolées, de puissants guerriers, détenteurs de techniques de combats ancestrales s'affrontent pour imposer l'avenir de l'espèce humaine. Kenshirô est l'unique héritier du Hokuto Shinken, un art de combat ultime qu'il met au service des populations opprimées. Une autre école domine, celle du Nanto dont l'héritier proclamé est Souther dit l'Empereur sacré qui assoit sa domination en terrorisant les populations. Pour accomplir sa destinée de sauveur, Kenshirô doit combattre Souther, mais dans l'ombre du destin, un ennemi plus cruel se dresse devant lui, son propre frère Raoh qui revendique dans le sang des innocents le titre d'unique héritier du Hokuto Shinken.

La critique d'Alice In Oliver:

Plus de vingt après les débuts de la saga Hokuto No Ken, les créateurs du manga originels (Buronson et Tetsuo Hara) ont pour projet de remettre au goût du jour les aventures de Kenshiro. C'est dans cette logique que Hokuto No Ken-L'Ere de Raho est réalisé par Takahiro Imamura en 2006.
D'autres films animés sortiront dans la foulée, entre autres La Légende de Toki, La Légende de Julia et La Légende de Kenshiro. Le but est donc de revenir sur les principaux personnages qui ont marqué la série originelle. En l'occurrence, L'Ere de Raho se concentre sur l'un des bad guys les plus puissants de Ken le Survivant, donc le même Raho (Raoul dans la série animée doublée en français).

Premier constat, les graphismes et l'animation se sont grandement améliorés. Ensuite, ce premier épisode d'une longue série s'adresse évidemment aux fans de la série. Attention, SPOILERS ! Après une guerre atomique, l'humanité erre dans un monde post-apocalyptique où la désolation et la violence règnent sans partage. Dans ces terres désolées, de puissants guerriers, détenteurs de techniques de combats ancestrales s'affrontent pour imposer l'avenir de l'espèce humaine. 
Kenshirô est l'unique héritier du Hokuto Shinken, un art de combat ultime qu'il met au service des populations opprimées.

 

cine-ken2

 

 

Une autre école domine, celle du Nanto dont l'héritier proclamé est Souther dit l'Empereur sacré qui assoit sa domination en terrorisant les populations. Pour accomplir sa destinée de sauveur, Kenshirô doit combattre Souther, mais dans l'ombre du destin, un ennemi plus cruel se dresse devant lui, son propre frère Raoh qui revendique dans le sang des innocents le titre d'unique héritier du Hokuto Shinken. Ce premier volet revient donc sur l'un des moments les plus importants de la série, à savoir le combat dantesque entre Ken et Souther.
Je le précise aussi: je suis fan de la série et j'apprécie tout particulièrement ce moment précis de la série.

En l'occurrence, Ken est confronté à l'un des ennemis les plus puissants de l'ère Ken 1. D'ailleurs, on se demande un peu pourquoi ce film s'intitule L'Ere de Raho. "L'Ere de Souther" était un titre beaucoup plus approprié. Ce bad guy est le guerrier le plus fort et le plus doué de l'école du Nanto.
Pour le vaincre, Ken devra tout d'abord s'associer à un guerrier aveugle, Shu. Cet homme appartient aussi au passé de Kenshiro. Dans l'ensemble, L'Ere de Raho est fidèle au manga d'origine dont il reprend les grandes lignes, même si on note ici et là quelques libertés.

 

HnKEreRaoh-screen1

 

Toutefois, rien de grave, le fan de la série originelle sera en terrain connu et quasiment conquis. Les combats sont toujours aussi violents et le rythme est suffisamment soutenu pour susciter l'attention. Néanmoins, aucune surprise au compteur.
Le scénario se résume à une succession de bastons très gores et violentes. Clairement, on se fout un peu des enjeux dramatiques. Ken n'est pas vraiment (et n'a jamais été) un héros particulièrement attachant. Il s'agit d'une sorte de Bruce Lee bodybuildé des temps modernes, qui doit affronter un destin souvent tragique. En vérité, la vraie surprise vient du graphisme en lui-même, particulièrement soigné. Un premier épisode convaincant donc, à défaut d'être réellement transcendant.

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