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21 juin 2014

Cuvée Jackson sans les five

A la fête de la musique, on écoute de la... Musique! Après cette vanne débile, il est temps d'embrayer. France 2 va être bien seule à mettre en avant la musique ce soir (qui plus est avec ce bon vieux Patrick Sebastien qui comme on le sait va encore sentir le poisson et faire tourner les serviettes) face à la samba du Brésil, mais Borat est là pour vous. J'avais déjà fait un article sur Michael Jackson il y a quatre ans pour la sortie de This is it. L'article étant obsolète (la plupart des vidéos ont été supprimé de Youtube) et vu que je trouve qu'il n'était pas assez complet (il avait quatre ans et comme je le dis assez souvent, j'écris quand même mieux depuis), je me suis dit que pour parler musique et vu que l'on se rapproche des cinq ans de sa mort, votre ami Borat allait supprimer l'original pour faire un remake flamboyant (Borat deviendrait-il aussi con que les pontes d'Hollywood?). Surtout qu'il faut redorer son blason après deux albums post-thume d'un rare opportunisme commercial (il vous suffit d'entendre "son titre" avec Justin Timberlake pour voir qu'on n'entend que le mari de Jessica Biel). Cuvée Jackson 2.0 c'est parti! Si l'on connaît Michael Jackson c'est non seulement pour ses chansons dont certaines resteront encore longtemps des standards (doit-on encore parler de Thriller? De Bad? De Don't stop til you get enough?), ses talents incroyables de danseur et showman, mais indéniablement c'est ses clips très cinématographiques qui ont titillé l'intérêt de ses fans voire des professionnels de la profession. 

Car en dehors d'avoir tutoyer plus d'une fois le cinéma pour des projets ambitieux (on pense à la commande Captain Eo signée Francis Ford Coppola, The Wiz du regretté Sidney Lumet ou Ghosts le moyen-métrage de feu Stan Winston), ses clips resteront souvent parmi les plus grands de l'industrie musicale et méritent bien un grand tour d'horizon. Je passerais sur les délires discos de Don't stop til you get enough avec son fond d'écran pourrave (à un moment on a quand même des caramels qui défilent!) ou Rock with you où Michael faisait de la lumière avec sa tenue pailletée; ou même ceux ne comportant que des lives ou des montages d'images. Passons directement à l'album Thriller et particulièrement sur le titre éponyme. Clip le plus cher à cette époque, premier clip avec un artiste afro-américain à tourner sur MTV, d'une durée record de quatorze minutes et réalisé par John Landis. Jackson a été impressionné par Le loup-garou de Londres et il engage son réalisateur ainsi que l'acteur Vincent Price pour faire un rap avec sa voix si particulière. Encore aujourd'hui, il reste un des clips les plus appréciés de la profession et l'un des premiers voire le premier à avoir une réelle narration. Mais également un vrai coup marketing puisque le clip sera vendu en VHS agrémenté d'un making of faisant de cette vidéo la plus vendue au monde derrière Moonwalker. D'autant qu'à cette époque, MTV ne souhaitait pas diffuser de clips venant d'artistes afro-américains jugeant ce genre de musique peu intéressante pour le public blanc. Depuis Michael Jackson, les choses ont heureusement bien changé. 

Le plus dommage (et c'est le cas de beaucoup de clips de Michael Jackson) étant qu'il est très souvent coupé par les chaînes musicales. Souvent elles ne conservent que la partie chantée ou voire mieux uniquement le petit couplet où Jackson marche avec sa copine dans la rue, soit même pas la moitié du clip! Le clip se déroule sur trois parties distinctes. La première rend directement hommage au film de Landis précité puisque Jackson se transforme en une sorte de loup-garou un soir de pleine lune et pourchasse son amie avec un certain suspense. Arrive alors la deuxième partie avec une mise en abyme puisqu'il s'agit d'un film vu par Jackson et sa compagne horrifiée qui quitte la salle. Jackson devient automatiquement culte avec son costume d'un rouge flamboyant au même titre que Bruce Lee et sa combinaison jaune dans Le jeu de la mort. Il se met alors à chanter avant que des zombies arrivent et le couple est encerclé. Commence alors la troisième partie avec Jackson zombifié et s'en prenant à sa compagne dans une vieille maison en ruine. Mais avant cela nous aurons droit à une danse mythique que l'on pourrait qualifier de "zombiewalk". La réalisation de Landis est soigné et malgré que l'on soit devant un clip donc qui sera diffusé à la télévision, il n'hésite pas à faire un vrai film d'horreur.

Les zombies sortent de leurs tombes quand ce ne sont pas des égoûts, Jackson arbore deux maquillages (loup-garou et zombie), suggestion d'un loup vorace avec hurlements et bruits gloutons, maison assaillie de zombies comme dans La nuit des morts-vivants de George A Romero... Tout y est. Un seul bémol: Jackson ressemble plus à un gros chat qu'à un lycanthrope. Pour le même album, Michael Jackson met en avant Beat it, Billie Jean et Say say say. Le premier (réalisé par Bob Giraldi) met en scène un Michael Jackson énervé, gueulant dans une chambre vide, dans un bar vide et dans un... billard vide! D'ailleurs, on s'amusera encore longtemps de la parodie de Mozinor qui s'était fait péter la rondelle! Mais pourquoi il n'y a personne? Parce que tous les jeunes se croient dans le film de Walter Hill et se prennent pour des Guerriers de la nuit. Là aussi danse reconnaissable avec mouvements de bras élancés à répétition et claquement de doigt. Le second (réalisé par Steve Barron, réalisateur des Tortues ninja) est plus classique revenant un peu aux années disco de Jackson avec l'univers coloré et les marches qui s'allument aléatoirement. On peut voir Billie Jean comme une sorte d'ange qui fait le bien autour de lui et apparaissant quand il veut tout en attirant l'oeil des autres. C'est surtout l'occasion pour Jackson de montrer ses talents de danseurs.

Enfin le dernier (réalisé par Giraldi également) est l'occasion pour Jackson d'un duo avec Paul McCartney. Le chanteur des Beatles est un vendeur de miracles comme on en croise plein et Jackson devient son cobaye. On devine vite la combine entre les deux larrons. L'occasion d'un clip classieux et plutôt sympa un peu dans le genre de L'arnaque de George Roy Hill. En 1987, Michael Jackson se révèle déjà un peu plus blanc sur la pochette de Bad. Le chanteur fait appel à un Martin Scorsese éméché par les flops successifs d'After Hours et La valse des pantins pour réaliser le clip éponyme. Logique de renflouer les caisses avec une commande. Le plus dégradant est que ce clip est systèmatiquement coupé au niveau de son introduction, ne laissant que la danse hystèrique et très cuir de Michael Jackson. Car Bad est plus long que Thriller de quatre minutes, soit dix-sept bonnes minutes! Dommage car la première partie en noir et blanc fait revenir Marty dans les bas fonds de New York avec ses petites frappes à la différence qu'il s'agit d'afro-américains. Parmi eux, Jackson et un certain Wesley Snipes encore loin de trucider du vampire dans Blade. Autrefois les copains d'avant ne s'entendent plus surtout quand Snipes décide d'aller un peu trop vers le côté obscur.

Passer cette introduction plutôt pas mal, Marty fait ce qu'on lui demande: un clip de Michael Jackson. Et là on a droit au festival cuir face à un Wesley Snipes sceptique. C'est aussi à partir de ce clip que l'ami Michael remettra systèmatiquement ses roubignoles en place pendant qu'il danse! L'occasion de singer un peu Robert De Niro aussi ou de défoncer une bouche d'aération! L'ami Michael délivre un côté moins enfantin et blagueur pour le look cuir à la limite du mâle alpha. Un modèle qu'il véhiculera encore plus dans The way you make me feel (réalisé par Joe Pytka) où il chassait une fille dans la rue de manière très insistante devant une bande assez machiste. L'occasion pour l'ami Michael de prouver qu'il est encore le roi de la nuit... Smooth criminal en revanche est un vrai bijou réalisé par Colin Chilvers pour le film Moonwalker. Il s'agit de la partie la plus intéressante d'un film que l'on qualifiera au mieux de lamentable mais ce passage c'est de la dynamite. Hommage à des pulp comme Dick Tracy et au film Girl hunt ballet avec Fred Astaire avec un Michael Jackson en blanc (la tenue, pas lui) déglinguant une série de mecs comme de tutoyer la mitraillette lourde, en passant par chaque étage. On retiendra également ce merveilleux pas où il entre littéralement en lévitation avec le talent que l'on connait. 

Oscillant sans cesse entre gros dur et romantique, voilà Michael Jackson dans le clip de Dirty Diana, mélange de fiction et de live (réalisé par Pitka). La fiction montre la fameuse Diana en titre marchant dans la rue avant que Jackson ne vient la retrouver dans une limousine. Si ce n'est pas le meilleur clip de Jackson ou sa meilleure performance de l'artiste sur scène (où il a toujours été exceptionnel même sur sa dernière tournée), Dirty Diana a au moins le mérite de montrer un Michael Jackson faisant le show. Nouvel extrait du naveteux Moonwalker avec Leave me alone (réalisé par Jim Blashfield). On voit alors l'ami Michael dans de multiples incrustations que ce soit dans des journaux ou autres avant de se retrouver dans un vaisseau l'emmenant pour un petit voyage. L'occasion de rendre hommage à son amie Elisabeth Taylor avec des images extraites de La chatte sur un toit brûlant. Liberian girl (réalisé par Jim Yukich) est un vrai festival de tête puisque Jackson convoque le tout Hollywood de l'époque dans ce clip. Ainsi on peut y croiser Brigitte Nielsen, Carl Weathers, Whoopi Goldberg, Amy Irving, Billy Dee Williams, Olivia Newton John, John Travolta, Steven Spielberg, Lou Ferrigno, Don King, Lou Diamond Phillips, Richard Dreyfuss, Danny Glover, Dan Aykroyd débarquant en moto de police ou Steve Guttenberg. Tous chantent la chanson, d'autres se préparent à être filmer... Finalement ils sont tous sous le joug de Jackson qui les filme de loin.


Michael Jackson - Dirty Diana par tibak78

Arrive alors l'album Dangerous en 1992 qui débarque pétaradant avec Black or white. Réalisé une nouvelle fois par John Landis, le clip se situe en trois réelles parties tout comme Thriller et se révèle parmi les clips les plus chers de tous les temps avec 1,5 million de dollars de budget soit autant qu'un petit film indépendant! La première partie montre le jeune Macauley Culkin écoutant du Michael Jackson trop fort pour son père et ce dernier l'engueule avant de briser un portrait de Jackson accroché à la porte. Ce qui est trop pour le gamin qui l'envoie directos en Afrique via une note surpuissante de guitare! La seconde partie montre Jackson en pleine danse. Landis se fait alors plaisir avec une séquence de morphing encore aujourd'hui assez incroyable et multi-culturelle. Ce qui est le cas de tout le clip montrant indous, africains, indiens, américains, russes (on sort juste de la Guerre Froide)... Mais là où beaucoup pensent que le clip s'arrête, ce n'est en rien le cas. Tout le passage qui suit est en général censuré à cause de la tonalité de la scène jugée trop violente pour un public de grande écoute. En effet, dans ce passage, Jackson se balade en panthère avant de revenir en pleine rue pour un show de danse endiablé où il dégomme des murs ou vitres avec des caractères xénophobes ou autres (on a une croix gammée ou le KKK par exemple). Une séquence beaucoup trop longue et qui ne contient d'ailleurs pas de musique. C'est juste une sorte de coup de gueule de Jackson (comme il en a souvent fait) où par ailleurs il remontera sa braguette!

On notera également l'épilogue faisant la part belle à la bande de Matt Groening puisque l'on retrouve les Simpson! En effet, Bart est scotché à l'écran et Homer débarque en beuglant entre deux bouffées de banane! Suit ensuite Remember the time signé John Singleton alors auréollé du succès de son petit film Boyz N the Hood et plus tard réalisateur de beaucoup de mauvais films comme le remake de Shaft ou 2 Fast 2 Furious. Un clip avec beaucoup d'effets-spéciaux dixit le générique et qui nous emmène en Egypte. Le pharaon est incarné par Eddie Murphy et sa reine par la mannequin Iman. Plusieurs prétendants viennent amuser le couple royal sans convaincre. Jusqu'à ce que la reine soit séduite par Michael Jackson qui joue de sa silhouette de sable pour se faufiler dans le palais et gagner son coeur. Une manière comme une autre de montrer en quoi Jackson savait sortir le porte-feuille pour imposer une patte visuelle (les décors comme les costumes sont excellents), même si les CGI ont quelque peu pris dans la tronche notamment la transformation de Jackson au début. In the closet (réalisé par Jackson et Herb Ritts) a fait polémique compte tenu des postures de Naomi Campbell avec Michael Jackson comme la tenue légère de cette dernière. Reste que l'ensemble se révèle assez sensuel plus que cochon, ce qui est déjà ça de gagner. Les connaisseurs reconnaîtront la voix de Stéphanie de Monaco au début du morceau.

Jam (réalisé par David Kellogg) se révèle bien plus simple puisque met en scène Jackson face à Michael Jordan. On aura rapidement compris la filiation du titre avec le basket. Un clip sympathique montrant la rencontre entre deux génies. Le tout en montrant des gosses en train de jouer. Le passage le plus amusant restant bien évidemment celui où Jackson apprend à Jordan comment danser. Who is it réalisé par un certain David Fincher alors assez écoeuré d'Hollywood après Alien 3 commence par des images d'immeubles en fin de journée sous un chant religieux. Le ton est finalement plus à la dance. Michael Jackson cherche son amante en pensant qu'elle l'a trompé. Elle est pourtant une escort changeant d'apparence à chaque rendez-vous passant d'Alex à Celeste. Un clip emplie d'espionnage et vraiment classieux. History sort en 1995 et a droit pour son premier clip au duo entre Michael et sa soeur Janet, Scream. Le clip le plus cher de tous les temps se trouve signé des mains de Mark Romanek, futur réalisateur de Photo Obsession et Never let me go. Bourré d'effets-spéciaux, le clip montre l'intérieur d'un vaisseau extraterrestre où les occupants sont les deux Jackson. 

Ils s'occupent à leur manière, jouant à une sorte de tennis comme à un pong évolué, méditant, écoutant de la musique, regarde des animés japonais, marchent sur les murs, regardent la télé... Le tout dans un vaisseau d'un blanc qui ravirait le premier Ipod venu alors qu'eux deux sont totalement en noir! Un clip visuellement beau où on retiendra également la danse quasi-simétrique entre les frères et soeurs. Je passe personnellement sur la grosse guimauve Childhood (réalisé par Nicholas Brandt) sorte de Peter Pan à la Jackson; You are not alone (réalisé par Wayne Isham) avec un Michael sous les spotlight alors qu'il devient beaucoup trop blanc pour être honnête (d'autant que le clip est une vraie horreur bourrée de fonds verts gros comme une montagne) et Earth song (réalisé par Brandt) qui vous ferez presque voter pour les écolos (quitte à voter pour n'importe quoi...) ces derniers m'ayant assez agacé ou laisser perplexe. J'enchaîne donc sur They don't care about us réalisé par Spike Lee. Voilà un clip à deux faces. La première apparaît comme quasiment inédite aux yeux des gens car jugée trop violente par les chaînes de télévision. On y voit ainsi des enfants en pleurs, des archives comme l'agression de Rodney King ou les émeutes de 1992 puis Jackson emprisonné. 

Un clip engagé aussi bien pour Jackson qui a toujours été contre toute forme de xénophobie et ce depuis le début de sa carrière, comme de Spike Lee pas réputé pour avoir sa langue dans sa poche. Histoire de contrebalancer le choix des chaînes, Jackson et Lee ont tourné une autre version à Salvador. En ses heures footballistiques brésiliennes, c'est le top comme ambiance. Un grand show dans des quartiers anciens de la ville devenant terriblement vivants. L'ère History n'est clairement pas la meilleure musicalement comme visuellement, comme le confirme bons nombres de ses clips. Beaucoup trop artificiels, certains s'avèrent finalement assez ridicules comme Stranger in Moscow (réalisé par Nicholas Brandt) où Michael Jackson déambule dans Moscou au ralenti. Blood on the dance floor (signé Jackson et Vincent Paterson) est un peu mieux en raison de ses numéros de danse, mais pas de quoi s'enflammer non plus. La carrière clippesque se terminera avec le dernier album de Michael Jackson Invincible. You rock my world est un clip de treize minutes signé du clippeur Paul Hunter. L'occasion pour le chanteur de se retrouver autour d'un Marlon Brando fatigué (et pas loin de nous quitter), Chris Tucker (qui a largement vanté ses louanges dans les Rush Hour), Michael Madsen et Billy Drago.

On avait déjà pu le voir avec les clips pour History, l'ami Michael ne ressemblait plus à grand chose pas du tout aidé par des coups de bistouri à droite et à gauche au point que son visage ne dégageait plus beaucoup d'émotions et ne parlons même pas de son nez. Bien sinistre pour un des chanteurs les plus charismatiques de sa génération. Ce clip semble se situer à Cuba ou tout du moins dans une destination exotique. Jackson et Tucker sont deux playboy suivant une fille dans un bar. Mais cette dernière est déjà aguiché par Madsen et Jackson part dans un show dont il a le secret. Puis la musique s'arrête net quand Madsen dégomme une bouteille sur le bar avant de montrer Brando dans un costume où il ressemble clairement à Vito Corleone! L'occasion de voir se profiler un affrontement. On n'est pas très loin de Smooth Criminal, le fantastique en moins. Allez à la semaine prochaine!

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Commentaires
A
en tout cas, il l'a payé cher: ça a sûrement contribué à son épuisement physique... La suite, on la connaît
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B
A Tina: Personnellement je fais toujours la part des choses. J'attends les preuves et après je juge. Or, il s'est avéré que sur Jackson, certains témoignages avaient été bidonné par les parents.
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B
Je l'ai remarqué aussi. L'exemple flagrant étant probablement rtl2 qui n'en diffusait jamais et après tout le temps avec Beat it, You are not alone ou Earth song. Pour les clips le pire c'est que les chaînes les coupent pour ne garder que la musique. Par exemple hier soir sur w9 Remember the time commençait quand Jackson balançait sa poudre. Pour la pédophilie ce n'était pas le sujet de l'article d'autant que certaines se sont avérées fausses.
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T
Ce qui est marrant avec Michael Jackson, c'est que les radios ou le télé ne diffusait jamais ses clips ou ses chansons de son vivant, et depuis qu'il est mort, BAM !!! Ca n'arrete pas. On a même oublié les histoires de pédophilie de Bambi.
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I
Ma génération a été bercée au MJ donc j'adore jusqu'au début des années 2000, après j'accroche plus vraiment. Thriller est clairement le plus grand clip de tous les temps, c'est même la plus grande réussite de Landis. Perso, ma chanson préférée de MJ est Liberian Girl dont le clip réunissant le tout Hollywood de l'époque, est assez sympa. Blame it on the boogie, période Jackson 5, était excellent aussi.
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