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Cine Borat
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  • Sur ce blog, je vous parlerais de cinéma (plus de 2500 films cultes comme navets abominables, ainsi que son actualité), de séries, de bandes dessinés (mangas, comics ou franco-belge), de jeux vidéo et de rock!
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24 août 2014

Cuvée on the road again, again, again

Bienvenue à tous chers lecteurs! Au cas où vous ne le sauriez pas, la Cave de Borat est en plein travaux et pour cela en ce moment elle sert de machine à voyager dans le temps. Une fonction fort utile que je qualifierais de "Retour vers l'été passé" et que vous explorez depuis plusieurs semaines. Après avoir voyagé entre 2001 et 2005, voyons ce que nous réserve les été 2006 et 2007 où l'ami Borat a écumé son fameux Kinépolis et sachez-le: vous allez encore voir du navet mais aussi parfois de bons films. Heureusement sinon quel ennui! Allez Doc on part pour un double voyage!

Retour vers l'été passé (photo 2)

"Allez Borat, grouille-toi on doit partir pour le 21/06/2006! Et là où on va il n'y a pas besoin de route!"

Je dois avouer qu'avant de faire cette cuvée, j'avais bien du mal à me rappeler de l'été 2006. J'ai même été étonné plus d'une fois en relisant l'agenda d'Allociné. Autant 2007 ça allait mais 2006 c'était limite le black-out. Commençons d'emblée avec La rupture de Peyton Reed. Certains le savent je suis plutôt bon client de Vince Vaughn et Jennifer Aniston n'était pas l'actrice la plus moche de l'époque. Sauf que le film en lui-même ne m'a pas convaincu. A l'époque, je crois lui avoir mis deux étoiles sur un carnet quelconque, aujourd'hui j'en enleverais probablement une de plus. Pas que ce soit nul mais c'est complètement anecdotique. La romcom de base mais dans l'autre sens: au lieu d'avoir les emmerdes petit à petit dans le couple, c'est plutôt le début. Pour les amateurs, Aniston parade nue à un moment. Suivra le lamentable Nos voisins les hommes probablement un des pires films Dreamworks qui m'ait été donné de voir. Graphique indigne du studio (autant je n'apprécie pas certains crus autant il faut bien avouer que la technique est là), histoire (enfin si on peut parler d'histoire) d'un rare nombrilisme (ils ne se sont vraiment pas foulé du tout, c'est le moins que l'on puisse dire) et d'ailleurs je pense que tout le monde a oublié ce film.

La rupture (photo)

"Tu me passe la télécommande Jen? -Hé ta soeur il y a Les reines du shopping maintenant! -Oh! Ma chérie! Tu me diras c'est pas pire que Bienvenue au camping. -T'as tout compris."

Passons dorénavant à du bon portnawak avec le remake de Terreur sur la ligne de Simon West. Hé oui j'ai été voir ce gros navet où il ne se passait rien, muni de rebondissements à deux balles et pas sauvé par son actrice principale qui écumera rarement les plateaux par la suite (sauf pour une daube comme 10000). S'en suit Vol 93 que j'avais été voir exprès au Gaumont d'Amnéville où je vais probablement une fois tous les trois ans voire plus! J'ai dû voir quatre là bas: Les Choristes, Les beaux gosses, Skyfall et bien sûr le film de Paul Greengrass. Je tenais à voir ce film au vue des excellentes critiques dessus et le fait qu'il était différent du projet d'Oliver Stone, World Trade Center, qui terminera l'été. Finalement c'est le petit qui a gagné sur le gros, le premier étant un film digne de ce nom sur une histoire au combien dramatique, le second une énorme baudruche à la hollywoodienne où on vous donne le paquet de kleenex avant la séance. Je caricature à peine. A une époque où je regardais beaucoup les Fast and Furious (plus maintenant en dehors des deux derniers), j'avais donc été voir le troisième opus Tokyo Drift qui en fait n'avait aucun rapport avec ses prédecesseurs. Complètement con et d'ailleurs Justin Lin a tout fait ensuite pour colmater cet épisode aux suivants en réutilisant le personnage de Han.

Tokyo drift (photo) 

"J'vais le crever le Borat tu vas voir! -Non non ne me fait rien! Mais c'est vrai qu'il est mignon! -Raaaaah!"

Donc Tokyo Drift se passe entre le sixième et le septième volet qui sortira en avril prochain! Cherchez pas à comprendre! Pour le reste, le deuxième opus montrait déjà de gros signes d'essouflements avec beaucoup d'effets-spéciaux, celui-ci en rajoute encore plus y compris dans les fameux drifts qui sont des dérapages contrôlés. Sans compter le charisme de poulpe des différents acteurs. Je passe sur Camping-car m'étant épanché sur son cas hier pour m'assurer les louanges du chat orange. Deux ans après ses aventures urbaines à chier des bulles, voici venir Garfield à Londres. Alors son maître essaye tant bien que mal de faire sa demande à Jennifer Love Hewitt, Garfield se trouve un sosie dans une sorte de Buckingham Palace et comme on pouvait s'y attendre les deux changent de place. Autant dire qu'il y a toujours autant de scénario, que Garfield n'a d'autres intérêts que de confectionner des lasagnes dans une cuisine royale et comme dans Les aristochats, le majordome cherche à tuer le chat royal. Les gags sur les pets sont également de mise bien évidemment.

Garfield 2 (photo)

"Vacances tout frais payés grâce à Borat! -Clair!"

Mais le gros film que j'attendais à l'époque était Pirates des Caraïbes: Le secret du coffre maudit. J'avais même pris le DVD du premier durant mes vacances pour me le revoir avant, comme je le faisais si souvent à l'époque (je le fais encore depuis mais pas toujours). Longtemps il fut mon préféré de la trilogie à cause de son humour lourdingue. Mais au fil des années, Jack Sparrow a commencé à m'agacer au fil des années et j'ai bien vu que les deux amigos à côté ne suivaient pas, tout du moins Keira Knightley s'en sortait mieux qu'Orlando Bloom qui était totalement éteint. Reste que j'aime encore le regarder à cause de ses morceaux de bravoure déjà bien plus présents que dans le troisième volet qui lui sert de suite directe. Le problème évident est que les deux films forment un dyptique et ont été tourné en même temps. Sauf que quand on regarde le troisième opus en comparaison du deuxième, on voit bien que le second est plus conséquent en éléments et paraît finalement comme un épisode de transition alors qu'il est . Dommage car l'une des meilleures scènes est dans ce film, soit le combat de la roue et la poursuite pour le coffre qui s'en suit. Il y a a eu aussi le problèmatique Miami Vice de Michael Mann.

Pirates des Caraïbes (photo)

Comme on dit la roue tourne! Ok je sors...

Longtemps, j'ai détesté ce film le considérant comme le plus mauvais film de Michael Mann. Depuis c'est devenu Public Enemies (en espérant que ce ne soit pas le cas de Cyber qui signera son grand retour en janvier prochain) et j'ai réussi à me faire à ce film. Le principal problème est que Mann a tellement dénaturé la série que l'on se demande encore pourquoi le film s'appelle Miami Vice. Quant au personnage de Ricardo Tubbs, il est beaucoup trop sous-employé pour privilégier les amourettes de Sonny Crocket. Mais pris seul le film s'impose comme un bon polar, ne sortant pas les grands sabots à la Bad Boys à base de blagues grasses et s'imposant comme un bon film ce que je ne voyais il y a plusieurs années. D'autant que l'histoire d'amour entre Colin Farrell et Gong Li est forte en émotion et que la caméra DV convient bien davantage à un film aussi urbain qu'à un film d'époque comme Public Enemies. Terminons l'été 2006 avec deux films. Le premier est Monster House, un vibrant hommage à la Amblin tout en étant produit par elle, et probablement plus sincère que Super 8

Miami vice (photo)

Sonny Crocket un homme qui tire beaucoup... Bon je pense que je connais le chemin... 

D'autant que parfois on remarque le cynisme horrifique d'un Gremlins notamment quand plusieurs personnages (dont des policiers) se font bouffer par la maison! Sans compter que la forme initiale de la maison renvoie aux freaks en général. On est bien loin du conte de fée et l'on se rapproche davantage d'un Coraline. Et enfin pour finir, il y a eu Des serpents dans l'avion nanar autoproclamé par ses producteurs et qui ont joué de ça durant toute la promotion. Après tout pourquoi pas d'assumer complètement un concept à la con. Sauf que le film lui-même laisse quand même à désirer. Entre un mec n'ayant jamais toucher des commandes d'avion qui réussi à piloter un boeing grâce à sa PSP, un couple qui baise tout en fumant de la marijuana avant de se faire attaquer par des serpents, la raison même des serpents dans l'avion, Samuel L Jackson qui cabotinne en bon déconneur ou alors l'inévitable serpent qui sort de la cuvette des chiottes pour taper dans le premier pénis venu; on a vraiment de quoi faire dans la connerie pure et dure. Mais bon il en faut bien plus pour faire rigoler des défauts volontaires d'un film.

Retour vers l'été passé (photo 1)

"Dépêche-toi Borat avec tes "Retour vers l'été passé", la Dolorean commence à flancher! -Oui, oui Doc d'ici quelques semaines. Bon allez je passe au 20/06/2007!"

L'année 2007 fut le premier où j'ai commencé à aller au cinéma tout seul, vu qu'avant j'allais soit avec mon paternel, soit avec ma mère (ce qui est toujours d'une rareté, le dernier film qu'elle a vu au cinéma fut Shutter Island!), soit tous les trois. Ainsi avec Spider-man 3 je découvrais le cinéma seul et curieusement cela m'a permis de voir beaucoup plus de films (encore maintenant j'essaye d'aller une fois par semaine, en tous cas pas un mois sans et ce malgré les vaches maigres). Ainsi l'été 2007 fut beaucoup plus garni que d'habitude et cela continuera jusqu'à aujourd'hui (même si je vois bien moins de conneries qu'avant!). Commençons avec Ocean's 13, troisième volet des aventures de George et autant dire que c'est l'épisode de trop. Un pur navet où rien ne marche à commencer par son méchant et où le principe du film ressemble beaucoup au premier film. Puis il y a eu la grande déception avec Die Hard 4, preuve malheureuse que la saga est morte avec l'absence de John McTiernan. John McClane face à la technologie pourquoi pas? Mais encore ne faut-il pas prendre le spectateur pour plus bête qu'il ne l'est avec un hacker à deux balles et un méchant de pacotille. 

Die hard 4 (photo)

Brucie faut arrêter de se croire le centre du monde!

Néanmoins à la différence du film suivant, Live free or Die Hard a le mérite d'enchaîner les scènes d'action les plus débiles au moins pour rigoler, comme ce merveilleux passage où McClane et son camion passent tous les obstacles avant de dézinguer un jet et d'y sauter! Dans A good day to Die Hard on touche en revanche à la bêtise pure et dure. Harry Potter et l'ordre du phénix fut un très mauvais moment à passer, probablement l'épisode le plus inutile de la saga ou comment on aurait pu faire un seul film des cinquième et sixième volets. D'autant plus dommageable que si La coupe de feu avait quelques trous, là on tombe vraiment dans la nullité. Dead or alive n'était pas mieux avec ses bimbos de partout et ces effets-spéciaux de pacotille alors qu'on vient voir un film de baston. Puis vient le fameux jour du 25 juillet avec deux gros films. A ma gauche, Les Simpson le film film ultra attendu pour tous les fans de la série, surtout que depuis quelques saisons elle commençait à s'essouflait. A ma droite, Transformers la dernière bourrinerie de ce bon vieux Michael. Ni une ni deux, j'ai été les voir avant mes vacances les mercredi et vendredi de la même semaine. Autant que le premier gagne. David Silverman a réussi à signer le meilleur épisode depuis un bon moment, même s'il souffre de certaines carrences notamment d'ellipses temporelles improbables dues probablement à trop de gags évidents.

Les Simpson (photo) 

Homer a le feu au cul...

Il faut dire que le film se concentre énormément sur les conneries d'Homer enchaînant les plus belles conneries. Que ce soit la pollution du lac, Spider Cochon, la bombe qu'il insère à l'intérieur du dôme, la moto, l'Alaska comme fief, la boule qui lui revient à la gueule... Tout déconne grâce à lui. Pour le second, c'est peut être le plus sincère des quatre opus (vous m'excuserez d'englober le dernier même sans l'avoir vu) puisque c'est le premier, il apparaît déjà moins foutage de gueule. Mais il n'en reste pas moins que le premier Transformers est un très mauvais film. Le genre typique de l'ami Michael, homme au combien bourrin et ne changeant pas avec les années, filmant le décolleté et le cul de Megan Fox comme jamais (il fera bien pire dès le suivant), montrant les aventures d'un queutard en rut aux prises avec des jouets géants que l'on ne reconnaît même pas et on est souvent agacé par la bêtise des personnages. Dix ans que ça dure quand même ces conneries. Les vacances passées j'ai direct été voir le dernier Pixar Ratatouille. A l'image des Aristochats, Brad Bird joue sur la carte-postale de Paris mais sans en faire forcément des caisses comme beaucoup le font hors de l'animation.

Transformers (photo) 

"Qu'est-ce que tu fais ce soir Megan? -Laisse tomber Shia t'es complètement has been, moi Les tortues ninja cartonne au moins. Je suis complètement hype."

L'occasion aussi pour Pixar de revenir en force avec un projet qui a traîné durant de nombreuses années et changé de réalisateur (Brad Bird à la place de Jan Pikawa) et qui arrive après le semi-échec commercial de Cars. De plus c'est véritablement avec ce film que Pixar impose définitivement sa réussite visuelle, déjà florissante autrefois mais jamais parfaite. A partir de Ratatouille, le studio assume totalement et atteint des sommets visuels que Dreamworks aura bien du mal à concrétiser, surtout au vue de l'art de l'histoire qu'opère Pixar. Il n'était pourtant pas facile de miser sur un petit rat faisant de la cuisine. Dans la foulée j'avais été voir Mise à prix de Joe Carnahan. Du film d'action bourrin où tout le monde s'entretue pour un oui ou pour un nom. Hic: On se fout royalement des personnages et le problème c'est qu'il y en a tellement! On a trois bandits (dont Ben "I AM BATMAN!" Affleck) qui se font dézingués par des néo-nazis menés par Chris "I AM KIRK!" Pine, qui cherche un magicien dans un hôtel surveillé par des agents du FBI (dont Ray "je suis un affranchis!" Liotta et Ryan "je suis Green Lantern... Enfin non" Reynolds) et convoité par deux tueuses légèrement lesbiennes sur les bords (dont Alicia "j'aurais mieux fait de rester dans la chanson!" Keys), un tueur amateur de chirurgie esthétique et un chauve! Allez me chercher de l'aspirine!

Ratatouille (photo) 

"Etre dans les colonnes de Borat, quel honneur! -De rien mon petit rat!"

De plus, à force de multiplier les personnages, on a évidemment quinze tonnes de sous-intrigues et on s'y perd. Sans compter le final soi-disant dramatique. Passons maintenant à une belle merde que voilà avec Fantastic Four: Rise of Silver Surfer. Vous avez un méchant en or, des héros déjà rassemblés qu'est-ce que vous êtes censés faire? Tim Story a compris une comédie avec quelques élans dramatiques comme le premier. Ainsi la Chose devient tout feu tout flamme, la Torche un colosse dur, la femme invisible s'envole, le Surfer est survolé au possible malgré qu'il a les meilleurs moments du film, le retour de Fatalis ne sert à rien, les effets-spéciaux sont laids sauf le Surfer, Mr Fantastic drague des nénettes en boîte de nuit (on a vu des moments ridicules dans les films de super-héros mais celui-là est mythique) et où l'on se demande si on ne se foutrait pas de notre gueule. Pas sûr que le reboot vraisemblablement en found footage va sauver les meubles. Heureusement pour contrebalancer j'avais été voir Planète terreur. Sauvant les meubles du projet Grindhouse, Robert Rodriguez retrouve des lettres de noblesse bis qu'il n'avait pas retrouvé depuis The faculty.

Silver surfer (photo) 

"Bon sang, mais qu'est-ce que je fous dans cette galère!"

Car depuis, il a enchaîné les bouses et autant dire que c'est toujours le cas actuellement. Là il assume complètement son cou, assumant pleinement le concept débile de son film ou du projet et Rose McGowan est aux sommets de son sex-appeal. D'ailleurs la scène de nu est juste unique en son genre, à la fois cochonne et amusante (la musique merde!). Par la suite; Robert a bien essayé de retrouver une aura de ce type avec les Machete mais en dehors de la fausse bande-annonce de Machete kills again in space, pas de quoi retrouver le plaisir de ce Planète terreur. Et après j'ai enchaîne le grandiose. Si Hairspray s'en sort encore plutôt bien dans le lot (confirmant que John Travolta se débrouille très bien dans un rôle efféminé), le reste ouch! Commençons avec Evan tout-puissant séquelle nazebroque de Bruce avec l'ancien présentateur devenu un père de famille émérite et construisant une arche, tout en se frottant à John Goodman. Pauvre de moi d'avoir subi ce très mauvais moment au cinéma. S'en suit le tout aussi nazebroque Paranoiak remake non-officiel de Fenêtre sur cour à la sauce djeuns avec un Shia LaBeouf imberbe qui essaye de tringler sa voisine (une habitude chez Shia, attitude refoulée jusqu'à ses élans fougueux dans Nymphomaniac!) alors qu'il a un bracelet au pied et un voisin tueur en face de chez lui.

Planète terreur (photo) 

Quel canon cette Rose.

Puis arrive ce bon vieux Kevin Costner en tueur, seul intérêt de Mr Brooks où Demi Moore essaye de payer ses impôts et Quand Chuck rencontre Larry, grossière comédie avec Adam Sandler et Kevin James où le premier aura la chance de tater les seins de Jessica Biel. Heureusement qu'il y a La vengeance dans la peau pour sauver les meubles. Dernier épisode événement de la trilogie Bourne, il a le mérite de conclure en apothéose une trilogie passionnante et qui a fait terriblement peur à l'ami Bond avant un reboot merveilleux entamé depuis 2006. Il s'en est fallu de peu. Bien rythmé, parfaitement intégré dans la trilogie et bourré d'excellentes scènes d'action (notamment les scènes au Maghreb), The Bourne Ultimatum s'impose comme un excellent divertissement et une apothéose magistrale. Toute la différence de son spin-off qui ne sert absolument à rien. Les zombies de 28 semaines plus tard m'ont largement plus convaincu que ceux des 28 jours, s'imposant bien plus politisé et violent. Le -12 face au -16 du film de Danny Boyle paraît même assez douteux, le film de Juan Carlos Fresnadillo ne laissant pas beaucoup d'échappatoire à ses personnages et a même une fin particulièrement pessimiste. A l'image du film l'Angleterre est définitivement en territoire mort-vivant.

bourneultimatumcap3 

"Tombé du ciel, à travers les âges..." (air connu)

Terminons cette cuvée avec Shoot'em up, lui aussi plus ou moins nanar dans son concept. Scène de cul en pleine fusillade, Clive Owen mâchoire fermée et amateur de carotte face à un Paul Giamatti cabottin, Monica Bellucci en prostituée amatrice SM, un bébé... Voilà de quoi se marrer un peu. Allez à la semaine prochaine!

Shoot'em up (photo)

Ne me remerciez pas pour cette charmante image de conclusion...

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Commentaires
A
à tina: pas aussi magnifique que la femme de ma vie...
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T
Hey Les Reines du shopping c'est trooop bien ! <br /> <br /> Pour les films vus au ciné dans ta chronique, je me rappelle avoir vu Pirates des Caraibes 2, et je m'étais endormie ! Paranoiak est aussi une grosse daube, prévisible à 3000 km, mal jouée et bourrée de pubs inutiles. J'avais pas non plus aimé Spiderman 3, interminable ! <br /> <br /> Par contre j'avais beaucoup aimé Ratatouille ! Je garde aussi un bon souvenir d'Hairspray.
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