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19 décembre 2014

Cuvée Hughes together, Hughes forever

La semaine dernière, la Cave de Borat revenait sur Mike Nichols, réalisateur récemment décédé et lauréat (bruit de casseroles). Cette semaine, votre cher Borat va s'attaquer à un réalisateur qui n'est plus depuis plusieurs années et dont il a largement compté les louanges depuis quelques mois voire années si on reprend les débuts de ce blog (hé oui...). Le 6 août 2009, le couperet tombe, les enfants des années 80 pleurent quelqu'un qu'il pouvait considérer comme "l'adulte qui les avait compris": John Hughes vient de succomber à une crise cardiaque tout comme son ami John Candy bien des années plus tôt. John qui? En effet, les spectateurs d'aujourd'hui ont oublié John Hughes ou tout du moins ne savaient plus qui il était. Ce nom ne me disait rien non plus et il avait fallu que je lis un article commémoratif dans Studio Ciné Live (à une époque où je le lisais encore, avec même pour tout vous dire Madame Pitt en couverture, ce qui devrait vous donner un repère) le mois suivant sa mort. C'est là que je suis revenu de loin car je connaissais beaucoup de films qu'il avait scénarisé, certains même que je connaissais depuis tout petit. Alors comment le public a fait pour l'oublier véritablement, ce réalisateur-scénariste qui a aussi bien marquer les 80's que les 90's et ce malgré plusieurs ratés? Tout simplement parce qu'Hollywood lui a tourné le dos. Plus de contrats, plus de projets à lui donner, le prenant probablement pour un has-been.

On ne sait d'ailleurs pas s'il a eu des projets entre 2002 et 2008, dates auxquelles il signe les scénarios de Coup de foudre à Manhattan (on voit quand même le niveau de la proposition: un film où J-Lo est une femme de ménage... pardon une technicienne de surface tombant amoureuse du richard Ralph Fiennes) et Drillbit Taylor, sa dernière création sorti un an avant sa fin. Il n'en reste pas moins que son parcours n'est pas sans rappeler un certain Shane Black, lui aussi scénariste majeur des 80's-90's. Là où le créateur de L'arme fatale s'est enrichi considérablement sur des projets qui finalement se sont viander copieusement (Au revoir, à jamais signera son arrêt de mort jusqu'à Kiss kiss bang bang); Hughes, lui, s'est retrouvé sur des productions qui ont marché mais qui l'ont ruiné artistiquement. Deux scénaristes, deux contraires dans des genres radicalement différents au parcours finalement similaire: gloire et chute. Mes premières rencontres avec le monde de Hughes se sont donc faites totalement inconsciemment. La première fois fut certainement Les 101 dalmatiens qu'il scénarise et produit pour Disney. Un remake du film d'animation culte qui fait la part belle à Glenn Close qui cabotinne clairement avec efficacité ou non (c'est selon les moments). On sent déjà que la sauce Hughes commence à sentir le périmé. Il est clairement devenu ce que beaucoup d'autres réalisateurs sont devenus aussi: une mode.

La mode Hughes marche alors on va l'utiliser jusqu'à plus soif et surtout jusqu'à la panne totale d'imagination. Si Les 101 dalmatiens a encore des choses à montrer niveau malice (même si les chiens sont rapidement délaissés pour laisser place à des acteurs se demandant parfois où ils sont allés) , on sent déjà qu'il n'y a plus rien à dire ou tout du moins quand on lui fait enfoncer des portes ouvertes. Et autant dire que cela va continuer encore longtemps. La seconde fois fut la VHS de Flubber. Robin Williams. John Hughes. Merde quoi. Avec deux cocos pareils, il y avait de quoi faire quelque chose d'intéressant. En gros l'histoire d'un scientifique n'arrivant pas à s'engager avec la femme qu'il aime et faisant passer la science avant tout. On pourrait voir une métaphore de Hughes: celui qui a fait passer le commercial sur la créativité et qui en est devenu pauvre. Malgré que le film marche, il s'agit de la dernière grosse-production à proprement parler auquel il touche. Après il me semble que c'est plus flou. Il y a eu en tous cas les VHS enregistrées des Beethoven, deux productions cannines pour Universal qu'il scénarise et produit. Si la première a très vite rendu l'âme (ah les VHS quand même, certaines tenaient très peu le choc l'air de rien), l'autre a longtemps fait le bonheur de mes pré-soirées en mode plateau-repas.

Le genre où l'on met soit un Disney, soit un Pixar, soit un Taxi, soit autre chose mais souvent du très familial. Désormais, il me serait tout simplement impossible de voir aucun des deux. Hughes touche au succès mais y perd en crédibilité de scénariste. Il devient purement et simplement familial, lui qui a autant montrer un caractère plus transgressif voire très éloigné du contexte grand public. Le premier reste un divertissement canin tout ce qu'il y a de plus banal et pas forcément savoureux, accumulant le mauvais goût et les gags répétitifs. Quant au deuxième, il réussi à être encore plus moralisateur dans son genre et putassier. Ah ce moment merveilleux où Charles Robin se retrouve à faire un concours de bouffeurs d'hamburgers entre l'écoeurant et le foireux. Un moment naveteux par excellence qui ne peut se savourer que sur une bonne vieille VHS (aucun intérêt sur un DVD ou un BR) et encore mieux enregistrée! Puis votre cher Borat s'est mis au DVD et est tombé enfin sur les Home Alone aux alentours de 2003-2004. Encore des films qui revenaient souvent lors de mes pré-soirées devant la télé pour manger. Autre temps, autres moeurs, désormais je le fais à table devant le journal (classe un meurtre quand tu es en train de bouffer!). Longtemps, j'ai aimé la trilogie mais alors plus trop maintenant.

Au fil des visions, cela a commencé à se dégrader et notamment sur les deux derniers. Si le premier réussi encore à faire rire (notamment le faux-film avec Snake qui a droit à son compte-à-rebours foireux), il symbolise à lui seul ce que va devenir la carrière de Hughes: familiale et effet de mode. Ainsi, le deuxième reprend totalement la formule du premier et le troisième n'a même plus rien à voir avec ses aînés, à part au jeu du gosse qui fout sur la gueule d'une bande de cons. Puis il y a eu la télévision qui diffuse ne l'oublions pas souvent la même chose. Ainsi un jour tu tombe sur Denis la malice et à vrai dire tu ne t'en souviens absolument pas. Puis Miracle sur la 34ème rue où tu te souviens surtout que cela sentait la grosse guimauve bien chiante, à peine sauvée par Richard Attenborough. Il y a eu aussi Bébé part en vadrouille qui reprend le même principe qu'Home alone avec un bébé. Lui en revanche je m'en souviens très bien: vu une fois en VHS à Longwy (oui je m'en souviens parce qu'on avait été invité chez un copain de mon paternel, qui plus est vers 2002 vu que Signes était présent dans la deventure transparente du cinéma présent là-bas, cherchez pas, le Borat a une mémoire pour le moins aussi ahurissante que ridicule!), une autre chez ma nourrice, la dernière à la télé. Plus jamais ça. Le genre de gags où le méchant principal (ce bon vieux Joe Mantegna) se fait brûler les couilles avec son briquet avant de se faire littéralement latter les roubignoles! Ne cherchez pas, n'en donnez rien!

Et puis il y a eu Les Visiteurs en Amérique. Je ne crois pas que j'avais vu les deux premiers à la télé, les ayant raté plusieurs fois, mais celui-là je m'en souviens totalement. J'étais chez la grand-mère de ma cousine (comprenez du côté de mon oncle!) avec ma cousine donc et on avait décidé le soir de regarder cela. On avait bien rigoler. J'ai vu peu de films avec ma cousine (prenez mon fief de Lorraine et dirigez vous jusqu'à Aix en Provence, vous comprendrez que la distance nous sépare quelque peu!), donc en soi cela reste un bon souvenir. Puis après avec Canal + gratuit, on était tombé plus d'une fois avec mon père dessus. On avait bien rigoler. Sauf qu'au fil des années, votre cher Borat a quelque peu changé d'avis. Le pauvre John Hughes se retrouve à faire le script-doctor (alors qu'il est crédité comme scénariste) pour un vulgaire et peu ragoutant remake américain sans queue ni tête. Hughes ne s'en relèvera pas, nous non plus. Il est malheureux de dire cela mais mon intérêt pour ce nom se fera avec sa mort. Il faut parfois une mort pour vous donner envie de découvrir un artiste. C'est clairement ce qui m'est arrivé avec Hughes. Alors que mon adolescence commençait à atteindre des sommets (le jeune Bobo qui se met à faire un blog depuis un an et demi! Le jeune Bobo qui redouble sa troisième mais a son brevet, cherchez l'ironie! Le jeune Bobo devenant petit à petit la grande gueule qu'il est depuis!), Hughes m'apparaissait comme légitime.

Deux mois après sa mort, je tombe sur Breakfast club pour pas trop cher (sept euros dans mon souvenir, pas de bonus à l'horizon). Et là paf! La claque. Oubliez ces passages affreux durant l'enfance à base de saint-bernard dégoulinant de bave ou de gosses infernaux faisant des pièges aux adultes. Vous êtes dans les années 80; John Hughes est au sommet de sa gloire et compte bien le montrer à Hollywood. Et pourtant les films de Hughes ont toujours été produit par des majors alors que ses réalisations sentent l'indépendance à plein nez. Certes certains dialogues sont un peu crus et certaines scènes sont un peu coquines (comme le passage où Judd Nelson se retrouve sous la jupe de Molly Ringwald!), mais Hughes a un profond respect pour ses acteurs et ses personnages. Preuve en est certains seront repris plus d'une fois à l'image de Ringwald ou Anthony Michael Hall. Il analyse les tourmants de ses adolescents, qui plus est dans une période évidente de frustration: les heures de colle. Aucune activité réelle à faire (en général, une rédaction à la con voire des exercices à se bidonner, ça sent le vécu tout ça), l'ennui total à l'horizon et surtout l'idée d'avoir fauter à un moment pour un oui ou pour un non (une mauvaise note, un comportement intolérable). Et pourtant il va s'en passer pour signer une sorte de drame qui oscille vers la comédie où l'adolescent évoque ses maux alors que personne ne veut l'écouter. Pas même un principal (le merveilleux Paul Gleason) qui s'ennuie bien plus que ses élèves dans la salle d'à côté.

Finalement nos héros auront plus d'avenir à la fin du film qu'au tout début. Le footballeur américain rencontrera l'amour avec la paumé à moitié gothique, la fille en vue avec le gros rebelle et le nerd aura trouvé des amis. Le Breakfast Club est formé, il le restera à jamais sous la musique de Simple minds. Puis après plus rien. Pas que j'ai perdu en intérêt pour le réalisateur mais tout simplement je ne trouvais pas ses films. Il y eu finalement le streaming qui m'a fait découvrir La folle journée de Ferris Bueller, que ma meilleure amie a fini par me télécharger tout récemment. Imaginez un peu et les "vieux des 80's" ou les amoureux comme moi de cette décennie particulièrement: Matthew Broderick, jeune acteur qui vient de casser la baraque avec le film qui a fait peur à Ronald Reagan Wargames (lisez le dernier Rockyrama pour vous en rendre compte); Mia Sara, beauté 80's qui excitait aussi bien le diabolique Darkness que (l'alors niais) Tom Cruise dans Legend, ainsi que le JCVD de Timecop; John Hughes le pape des ados; le deuxième rôle phare de Jennifer Grey (elle n'en aura plus) après Dirty Dancing; et même Charlie Sheen en caméo badass. La messe est dites n'en jetez plus! Ferris Bueller est le contrepied parfait du Breakfast club: c'est le mec qui a tout du futur collé mais qui réussi toujours à s'en sortir. Hughes reprend d'ailleurs le gimmick du principal prêt à tout pour coller ses élèves, mais qui n'y arrive pas, mais en rajoutant une note comique supplémentaire.

On se lève tous pour Mia!

Indéniablement, Hughes venge tous les élèves qui allaient chez le dirlo en le faisant rencontrer un rotweiller qui ne demande que son cul à bouffer ou en se faisant agresser par une jeune adolescente en détresse. Et si en plus il a la tête de Jeffrey Jones, tronche burtonnienne et méchant phare d'Howard the duck (je sais, je suis un parfait enfoiré pour citer ce film dans la filmographie de cet acteur attachant), quel bonheur! Le film accumule les moments de folies furieuses (la reprise de Twist and shout en plein Chicago est un festival de rires, tout comme les passages où Bueller s'adresse directement au spectateur en regardant la caméra, comme pour lui donner des conseils sur la vie!) mais aussi d'émotions. C'est là aussi où l'on reconnaît la patte Hughes: là où on ne l'attend pas du tout. Preuve en est avec le passage où Alan Ruck raconte ses déboires avec son paternel tout en pétant un cable. En quelques minutes, on est totalement loin de l'ambiance du film et c'est justement en cela que cette séquence fonctionne: Hughes interroge sur les troubles de l'adolescence, le moment où le personnage le moins fou finit par craquer à cause de la pression paternelle. Autre temps, autres moeurs diront certains? Pas aussi sûr.

Mon périple avec John Hughes s'est finalement arrêté ces derniers mois. Dans un premier temps, ma meilleure amie m'a prêté Seize bougies pour Sam, son tout premier film. On pourrait croire dans un premier temps à une bluette avec une jeune adolescente en fleur. Mais désolé pour vous, nous ne sommes pas dans les 2000's avec ses pauvres cancereux en phase terminale, ses adolescentes enceintes et ne voulant pas avorter ou encore les concours risibles de pompom girl. Autre époque... bon je crois que vous avez compris. Sixteen Candles met en fait en scène trois jeunes: la Sam en titre jeune fille fêtant ses seize ans alors que sa famille s'en tamponne le coquillard pour cause de mariage de sa soeur; le jeune playboy qu'elle aime et qui se fout complètement du pognon qu'il a sous le coude; et le geek emmerdeur notoire qui va devenir le roi du monde en une soirée en: 1) Ramenant la culotte d'une fille que potentiellement il n'aurait jamais mis dans son lit. 2) En se tapant la reine du lycée qui, dans d'autres conditions, l'aurait envoyer chier. On ne s'étonnerait même pas que Seth Rogen et Evan Goldberg s'en soient inspirés pour le personnage de McLovin dans Superbad. C'est typiquement le personnage en apparence secondaire qui casse la baraque et devient finalement le héros du film malencontreusement. A cela rajoutez un personnage d'asiatique à la ramasse et un mariage complètement foutraque qui font du premier film de John Hughes un véritable bonheur de teen-movie.

 

The Geek l'ancêtre de McLovin.

Et enfin je terminerais sur Weird science, vu en streaming, qui donnera par la suite une série que j'ai longtemps regardé sur la 2 (et notamment lorsque je travaillais le samedi, mais est-ce que les parents venaient chialer comme des cons avant? NON!), à savoir Code Lisa  (avec la toute belle Vanessa Angel). Comme quoi, on revient à chaque fois aux origines du Borat. Une variation jubilatoire de La fiancée de Frankenstein où deux geeks créent une créature de rêve (le titre français du film) et deviennent de suite hype. Et évidemment, rien ne serait moins bien sans des guests de choix. Robert Downey Jr apparaît bien jeunôt en jeune obsédé sexuel qui ferait passer son interprétation de Tony Stark pour une jeune pucelle. Bill Paxton est le frère aîné, cliché monumental du militaire en kaki que tu ferais tout pour lui casser la gueule. Michael Berryman reprend son rôle de Pluto dans La colline a des yeux et se retrouve accompagné de Vernon Wells. Hé oui! Le salopard qui veut jamais crêver de Mad Max 2! Le terminator toyboy de L'aventure intérieure! La terreur de Fortress! Et évidemment le méchant en côte de maille de Commando! Rien que pour cela, merci John! Evidemment, il me reste encore des crus à voir de l'ami John. Je pense à National Lampoon's vacation l'un des premiers films d'Harold Ramis, à Pretty in pink où il retrouvait Molly Ringwald, Un ticket pour deux où Steve Martin se retrouvait affublé de John Candy, She's having a baby où Kevin Bacon découvrait les affres du mariage ou
Oncle Buck avec son pote Candy en rôle principal. 

Il n'en reste pas moins que John Hughes m'a marqué en mal comme en bien, surtout en bien. Un scénariste qui avait un goût inné pour croquer les rôles d'adolescents sans jamais les prendre pour des imbéciles et encore moins pour des jeunes qui ne pensent qu'à baiser dès qu'ils atteignent la terminale et cherchent à passer à l'acte avant l'université. Le teen-movie s'est transformé grâce à Hughes, mais peu ont retenu la leçon. En tous cas pas American Pie. John voici le témoignage d'un jeune universitaire de ton talent, rest in peace de là haut. Allez à la semaine prochaine!

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Commentaires
K
Sacré petit retour dans les années 80 avec cette cuvée! <br /> <br /> Heureusement qu'on se souviendra de Hughes plus pour ses apports au ciné populaire qu'à ses échecs, sérieusement mentionner les Visiteurs me fait toujours un peu mal à l'ame. :s<br /> <br /> Et puis la pub de Broderick vieux me fait sourire et m'attriste en même temps.
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V
Pour tout avouer, ce n'est pas le genre de cinéaste qui m'intéresse.
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T
Quoi, tu l'as vu au ciné ? Je n'ai pas vu Gigli, il parait que c'était une belle daube <br /> <br /> C'était des gros fils à papa, ils n'avaient pas vraiment besoin de leur brevet si tu vois ce que je veux dire...
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T
Coup de foudre à Manhattan, le truc pourri que j'avais regardé pendant les vacances de Noël... Jennifer Lopez en femme de ménage c'est très crédible tout ça :o <br /> <br /> Moi j'aime bien quand même Home Alone 2 (c'est moins bien mais je le trouve sympa). <br /> <br /> Beethoven reste surtout un bon souvenir d'enfance mais je ne vais pas non plus dire qu'il s'agit d'un bon film, faut pas déconner non plus. <br /> <br /> Ravie que tu connaisses là d'où je viens ;) <br /> <br /> C'est vraiment dégueulasse. Quand je vois les débiles dans ma classe qui n'ont pas eu le brevet parce qu'ils avaient le QI d'un lofteur (et je suis gentille) et qui sont passés en seconde, ça fait un peu peur. Connaissant ma mère, je crois qu'elle aurait vidé ton directeur (et à ce jeu-là, je dois avouer, elle est fortiche et elle se fiche totalement de l'importance de son adversaire).
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B
Il a fait l'histoire originale. Ça sent le truc sorti du placard. Home alone à la rigueur mais pas sa suite. Trop mauvaise et pareil pour Beethoven. Oui j'ai de la famille là bas en effet. ;) Le redoublement est arrivé avant le brevet et le dirlo avait littéralement dit à ma mère que cela ne servait à rien de faire chier. Heureusement ce tocard n'est pas resté dans l'établissement.
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