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7 mars 2018

Spielberg en plein travaux de rêve et de télévision

Pour en terminer avec la rétrospective sur Steven Spielberg, abordons son second studio Dreamworks, ainsi que ses engagements télévisés et animés. 

  • Dreamworks : Spielberg se fait plaisir mais pas trop

Dreamworks

Juste après La liste de Schindler (1993), Steven Spielberg décide de créer un studio beaucoup plus imposant, Amblin ayant toujours eu ses bureaux bloqués à Universal. Avec Jeffrey Katzenberg venant de chez Disney et David Geffen du monde de la musique, il lance Dreamworks SKG en 1994. Si la musique ne marchera pas (idem pour le jeu-vidéo, la franchise Medal of Honor finissant chez Electronic arts), le cinéma et surtout l'animation deviendront importants dans les chiffres d'affaires de la firme. Les débuts furent durs, mais le studio se fait une place petit à petit. Tout d'abord avec les trois premiers films de Gore Verbinski (La souris, Le mexicainThe ring, 1997-2002) qui permettent les premiers gros succès commerciaux du studio. Puis avec American Beauty (Sam Mendes, 1999) couronné aux Oscars. Le problème qui reviendra régulièrement par la suite est que Spielberg ne s'implique pas dans ces films, au contraire de Katzenberg dans sa partie animation. Dreamworks devient vite un énorme bordel logistique, une partie allant d'un côté, l'autre devenant indépendante...

TR

Puis en 2008, le groupe indien Reliance entre en scène et redonne des capitaux à la firme. Actuellement, la société a toujours des parts dans Amblin, Amblin Television ou Dreamworks, d'où sa présence dans les logos des derniers films de Steven Spielberg. En 2009, Disney décide de prendre sous son aile le studio et n'a pas renouvelé pas le contrat, déçu par des mauvais résultats (Numéro 4, Cowboys and aliens). Spielberg dans tout cela ? Hé bien pas grand chose. Tout comme Amblin depuis les 2000's, le rêve d'indépendance arrive rarement. La plupart de ses films depuis Amistad (1997) ont le sigle Dreamworks mais sont toujours associés à d'autres studios pour la distribution. Au point qu'il est arrivé régulièrement ces dernières années que ce soit Amblin qui revienne à la production plutôt que Dreamworks. De plus, le studio est vite devenu une sorte de boulet où Spielby fait un peu ce qu'il peut avec ce qu'il a. Par exemple, il met son nom pour les copains. C'est le cas avec Peter Jackson sur Lovely Bones (2009), mais aussi avec le pyromane Michael Bay. 

Transformers : Affiche

Après The Island (2005), Spielby lui offre la franchise Transformers dont il a dirigé tous les opus, sauf le spin-off autour de Bumblebee qui sortira l'hiver prochain réalisé par Travis Knight (Kubo and the two strings). Une franchise très lucrative dont le logo Dreamworks a vite déguerpi des génériques, bien que Spielberg soit toujours producteur sur chaque film. Notons également les associations douteuses avec DJ Caruso (la firme a produit trois de ses films dont Paranoiak) et Jon Favreau (son Cowboys and aliens reste encore en mémoire parmi les gros flops de l'été 2011). Donc on peut dire que Dreamworks appartient à ces studios révolutionnaires qui se sont bien cassés la figure au fil des années. Néanmoins, Spielby se félicite du triomphe de The Help de Tate Taylor (parfois trop manichéen et naviguant sur les terres de La couleur pourpre) et surtout de Real Steel (Shawn Levy, 2011). Un film de science-fiction revenant au bon vieux temps d'Amblin, en tous cas bien plus qu'en regardant une seule seconde de Super 8 (JJ Abrams, 2011).

Real Steel : Affiche

D'autant que le film ramène aux jeunes années de Spielberg en tant que réalisateur, puisqu'il est adapté d'une nouvelle de Richard Matheson, scénariste de Duel (1973). Il y a honnêtement des chances que Dreamworks aura de plus en plus de mal à retrouver un public. Les flops commerciaux successifs d'Une vie entre deux océans (Derek Cianfrance, 2016), La fille du train (Taylor, 2016) et surtout de Ghost in the shell (Rupert Sanders, 2017) ont fait beaucoup de mal à l'image du studio, menaçant qu'il soit moins présent encore qu'il ne l'est déjà aujourd'hui. 

  • Spielberg et l'animation

Les quatre dinosaures et le cirque magique (2)

Affiche réalisée par Drew Struzan.

Suite à sa collaboration avec Don Bluth et Gary Goldman, Steven Spielberg ouvre Amblimation pôle animé d'Amblin. Le premier film du lot sera Fievel au Far West (Wells, Nibbelink, 1991), vite suivi d'une série animée continuant le délire (1992). Le studio persiste dans le début des 90's avec tout d'abord Les Quatre dinosaures et le cirque magique (1993). Un conte où des dinosaures sont emmenés dans un vaisseau voyageant dans le temps et rendus gentils pour aider des enfants pour le moins perdus. Un film pour le moins sympathique sur le bien et le mal (d'un côté le savant, de l'autre son frère magicien diabolique), mais peut-être trop court et un peu trop improbable dans son concept. Nos dinosaures n'ont aucun mal à se faufiler dans New York et chantent même dans une parade quasiment incognito. On peut poser le même problème à Balto (Wells, 1995). Le film relate une histoire vraie survenue en Alaska, à savoir celle d'un chien-loup ayant sauvé un traîneau de médicaments en perdition. Le tout est quelque peu romancé et l'attaque de l'ours n'est rien comparé à celle de Rox et Rouky (Rich, Berman, 1981), mais le film n'en reste pas moins sympathique. 

bal

Le film se fera court-circuité par Toy Story (John Lasseter) lors de sa sortie, qui en plus symbolisait une évolution technologique sans précédent. Tous les films d'Amblimation ont été dirigé par Simon Wells qui ira voir chez Dreamworks (Le prince d'Egypte a sa patte) et Zemeckis (le gros four Milo sur Mars). Par la suite, Amblin ne touchera plus à l'animation (Dreamworks si) en dehors de Monster house (Gil Kenan, 2006), produit avec Robert Zemeckis. Il faudra attendre que le maestro Spielberg s'y mette pour que la machine redémarre avec Les aventures de Tintin : Le secret de la licorne (2011). En revanche, il s'est fait remarquer dans les 90's par de multiples séries animées. Les Tiny Toons (1990-95) présentait des jeunes toons en quête de succès ou encore à l'école. Attention à ne pas confondre avec Baby Looney Tunes (2001-2006) qui montre les Looney Tunes enfants. En 1993, Amblin offre à Brad Bird de reprendre son personnage du chien de l'épisode "Family Dog" de la série Histoires fantastiques (1985-87) pour en faire une série animée qui ne dura qu'une saison.

Les frères Warner d'Animaniacs (1993-98) sont certainement la création animée la plus populaire de Spielberg. Des aventures déjantées dont le générique reste encore bien en tête vingt ans plus tard. De cette série sont également nés les impayables Minus et Cortex, souris voulant conquérir le monde vite héritières d'un spin-off (95-98), avant de se retrouver dans une autre série (Pinky, Elmyra & the Brain, 1998-99). Notons également l'existence de Freakazoid ! (1995-97), série produite par Spielberg, Bruce Timm et Paul Dini (soit les créateurs de la série animée Batman). Elle mettait en scène un adolescent de 16 ans qui devenait un super-héros suite à un bug informatique. Des créations de qualité souvent sous l'égide de la Warner, qui à cette époque se faisait un plaisir de revenir au cartoon après des années d'absence des Looney Tunes. Spielberg leur a offert cela sur un plateau d'argent. Confiée à Jeffrey Katzenberg, la partie animation de Dreamworks ne tarde pas à se faire remarquer. Sa première production l'a fait entrer directement en concurrence avec Pixar, alors en contrat avec les anciens employeurs de Katzemberg (Disney).

Fourmiz

FourmiZ (Darnell, Johnson, 1997) fait bien évidemment concurrence à 1001 pattes (John Lasseter, 1998) et met lui aussi en scène des fourmis en CGI. A la différence qu'ici le système est plus particulier avec les fourmis guerrières, royales et ouvrières. La parodie de Starship troopers (Paul Verhoeven, 1997) marche (d'autant que Dreamworks ne fait clairement pas dans la dentelle, montrant des fourmis se faisant dézinguer ou des cadavres). Le point de vue détonne aussi puisque Z est doublé par Woody Allen et ce dernier donne sa personnalité au personnage. Mais le film tourne vite à vide et ne raconte pas grand chose d'intéressant. Sur les deux films suivants, le studio va vers un mélange entre animation traditionnelle et CGI comme Disney : Le Prince d'Egypte (1998) et La route d'El Dorado (Bergeron, Finn, 2000). Deux réussites, d'autant plus pour le second qui revient de loin. Cette sorte de réadaptation de L'homme qui voulut être roi (Rudyard Kipling, 1888) était un projet plus adulte, ce qui se ressent encore dans quelques allusions gourmandes et croquantes (la scène où Tulio se réhausse hagard et Chel qui se relève de ses parties intimes vaut à elle seule la rigolade). 

LRED

La route d'El Dorado parvient en tous cas à être un film d'aventure de qualité, bien aidé par un casting vocal aussi bon en VO (Kevin Kline, Kenneth Branagh, Rosie Perez, Armand Assante...) qu'en VF (José Garcia, Antoine de Caunes, Victoria Abril, Richard Darbois, Jacques Frantz, Féodor Atkine...). Toutefois, il n'a pas fonctionné au box-office (76 millions de dollars récoltés pour 95 millions de budget) et c'est aussi pour cela que l'on aura tendance à plus citer Le Prince d'Egypte (218 millions de dollars de recettes). Une relecture d'une partie bien connue de la Bible, à savoir l'Exode. Si le film ne va pas aussi loin dans l'histoire comme le faisait Les dix commandements (Cecil B DeMille, 1956), il n'en reste pas moins une bonne alternative qui n'hésite pas à être assez radical par moments (notamment les passages sur les coups de fouet). Le studio fera encore deux films de ce type (Spirit l'étalon des plaines et Sinbad la légende des sept mers, 2002-2003) avant de passer au tout CGI. A cette même époque, Dreamworks s'associe au studio Aardman spécialisé dans la stop-motion en pâte à modeler. 

Le Prince d'Egypte

Les relations ne furent pas toujours joyeuses entre les deux studios (les pontes de Dreamworks reprochaient souvent le ton trop british du studio, alors que c'est quand même sa marque de fabrique), ne donnant lieu qu'à trois longs-métrages avant la rupture du contrat. Deux réussites indéniables (Chicken Run et Le mystère du lapin-garou, 2000-2005) et un raté (Souris city, 2006). Dans les 2000's, Dreamworks commence à monter des franchises suite au succès de Shrek (Adamson, Jenson, 2001). Shrek devient une série de quatre films réalisés entre 2001 et 2010 et on annonce pour les années à venir un cinquième volet. Une série de films qui a très bien commencé de par sa parodie des contes bien dosée et ses personnages hauts en couleur (l'Ane est le dernier grand rôle d'Eddie Murphy), avant que les scénaristes ne quittent le navire. Ou tout du moins semblent l'avoir fait tant le deux derniers opus n'ont plus grand chose à raconter. Parties sur de mauvaises bases et encore une fois sur une histoire de concurrence (avec The Wild distribué par Disney), la trilogie Madagascar (2005-2012) assortie d'un spin-off (Les pingouins de Madagascar, 2014) n'a jamais cessé de montrer ses limites aussi bien scénaristiques que visuelles.

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Idem pour la trilogie Kung fu panda (2008-2016) qui n'a clairement rien d'intéressant à montrer. La franchise Dragons (2010-) fonctionne davantage car la technique comme le récit sont tout deux intéressants. Dean DeBlois dévoile un univers concret, une bonne caractérisation de personnages quitte à les brusquer (Harold perd sa jambe dans le premier volet) et il y a une évolution d'un épisode à l'autre. Reste à voir ce que va donner le troisième opus censée être une conclusion qui sortira en 2019. Si les chiffres sont là durant un temps, Dreamworks Animation va commencer à voir rouge au fil des années. Indépendante de Dreamworks SKG en 2004, ses films sont alors distribués par Paramount jusqu'en 2013. La Fox reprend en main le studio l'année là jusqu'à la sortie de Captain Underpants (David Soren, 2017). Désormais entre les mains de Comcast (groupe qui détient Universal), le studio se révèle particulièrement fragile. Ses films n'ont jamais cessé de décliner en qualité à partir de 2004. Les causes sont assez évidentes : au lieu de miser sur des scénarios solides, le studio préfère souvent se focaliser sur l'animation et le casting de voix. 

Dragons

Cela a marché un temps, mais ce n'est plus vraiment le cas désormais et ce malgré l'implication de Guillermo del Toro en tant que consultant (il a même lancé la série Troll Hunters). Si bien que l'on peine à retenir positivement leurs films, en dehors de Rise of the guardians (Peter Ramsey, 2012) qui n'a ironiquement pas fonctionné au box-office. Dreamworks a longtemps voulu concurrencer Pixar, mais le studio d'Emeryville a toujours été un niveau au dessus à chaque fois. Le studio de Katzenberg a même réussi à se faire devancer par Disney en plein retour fracassant. On n'est pas loin de la fin d'une époque...

  • Spielberg et les séries

Steven Spielberg a commencé à la télévision, il était donc logique qu'il y revienne un de ces jours. Il le fait d'abord avec l'anthologie Histoires fantastiques (1985-87), "sa Quatrième dimension". Si la série ne marche pas (malgré deux saisons), elle a de quoi donner des sueurs froides rien qu'en voyant le nom des réalisateurs. Spielby lui-même, Matthew Robbins (Miracle sur la 8ème rue), Joe Dante, Irvin Kershner (L'Empire contre-attaque), Paul Bartel (Death Race), Martin Scorsese, Thomas Carter (Le flic de San Francisco), Clint Eastwood, Danny DeVito, Tom Holland (Fright night), Kevin Reynolds (Robin des Bois Prince des voleurs), Robert Zemeckis, Tobe Hooper ou encore Brad Bird (pour le seul épisode animé). Rajoutez à cela des acteurs prestigieux comme Kevin Costner, Harvey Keitel, Charlie Sheen, Mark Hamill, Tim Robbins, John Lithgow, Kiefer Sutherland, Patrick Swayze, Carrie Fisher, David Carradine, Christopher Lloyd, Sondra Locke, Beau Bridges ou encore James Cromwell. Certains épisodes sont même devenus cultes à l'image de celui où Costner est un bombardier devant faire face à un problème de train d'atterrissage (La mascotte signé Spielberg justement) ou celui où un peintre en deuil se découvre un drôle de pouvoir (Vanessa d'Eastwood).

Kevin Costner dans Histoires fantastiques.

Longtemps invisible en France, cette série est sortie en DVD. NBC propose en 1993 à Spielby de faire une série à la Voyages au fond des mers (1964-68). Le réalisateur-producteur n'hésite pas à créer Seaquest, police des mers (1993-95) et fait même sortir du placard feu Roy Scheider et Irwin Kershner devant et derrière la caméra pour le pilote. Le budget est solide avec au moins 2 millions de dollars par épisode. Mais l'entreprise se révèle vite cafouilleuse avec des scripts qui commencent à sentir le réchauffé à force d'être réutilisés. Au bout de deux saisons, Scheider part consterné de la chose. Mais la série continue sans sa star pour treize épisodes avec Michael Ironside en remplacement avant d'être annulée. La série change même de titre (Seaquest 2032) en espérant faire plus d'audience. Il était temps d'arrêter le naufrage. Spielby est aussi l'heureux producteur d'Urgences (dont le créateur n'est autre que Michael Crichton), la plus longue série de sa carrière avec quinze saisons comptant tout une flopée d'acteurs aux visages bien connus (George Clooney, Noah Wyle, Eriq La Salle, Anthony Edwards, John Stamos, Angela Bassett, Julianna Margulies, Maura Tierney, Goran Visnjic...).

Urgences

Les Urgences au commencement.

Une véritable institution qui a longtemps alimenté les dimanche soirs de France 2. En 2001, Spielby se remet à la guerre en compagnie de Tom Hanks pour Band of brothers. Une mini-série de dix épisodes se déroulant en Europe en pleine Seconde guerre mondiale où on suit la Easy Company. Un véritable succès pour la chaîne HBO. Les deux larrons réitéreront le coup en 2010 avec The Pacific s'intéressant à la Guerre du Pacifique avec un succès moindre. En 2003, Spielby s'implique beaucoup dans une autre mini-série, suite indirecte à Rencontres du troisième type (1977). Disparition est l'occasion de découvrir Dakota Fanning sous la direction de Tobe Hooper notamment. Une histoire se déroulant sur cinquante ans et contant les nombreuses disparitions survenues dans trois familles. La cause principale ? Des extraterrestres. Spielby produit également Into the west (2005), épopée de six épisodes où Skeet Ulrich se retrouve en pleine conquête de l'ouest avec des indiens. La série marche aux States, mais arrive très péniblement sur le câble français. En 2009, il offre une véritable vitrine à Toni Colette avec United States of Tara.

Frères d'armes

Cette dernière incarne les multiples personnalités de la ménagère en titre. L'aventure dure trois ans avant d'être supprimée de la grille de la chaîne Showtime. Depuis 2011, Spielby est revenu une nouvelle fois à la science-fiction. La sinistre Terra Nova (2011) d'abord, qui avait tout dans le visuel (une série particulièrement chère) mais rien à l'intérieur. Elle n'était pas aidée par un casting particulièrement faiblard et des aventures mollassones. Le public l'a bien compris et la série est annulée par la Fox en mai 2012. Falling Skies (2011-15) permit de voir Noah Wyle en pleine guerre des mondes. Pas plus brillante, on relève l'adaptation d'Under the dome (2013-15), aussi peu fidèle aux pavés de Stephen King (2009) qu'agaçante. Le genre de séries qui n'auraient jamais dû rester autre chose qu'une mini-série. Enfin, il y a eu aussi Extant (2014-2015), étrange hybride d'AI (2001) et de Rencontres du troisième type allant un peu n'importe où sans atteindre son but. L'incursion de Spielby dans le musical n'a pas duré longtemps non plus (Smash, 2012-13). 

United States of Tara

Toni Collette sous toutes les coutures.

Là aussi, on peut reprocher que l'importance de Spielberg n'est que sur le papier. En de rares exceptions, il n'a pas superbement bien géré ses productions télévisées, au point qu'on ne s'étonne pas tellement que certaines soient d'une nullité affligeante.

  • Epilogue

Terminons cette rétrospective sur Steven Spielberg par une citation de son cru.

"Je pense toujours aux spectateurs quand je réalise un film. Pourquoi ? Parce que je suis avant tout un spectateur."

SS


Article initialement publié le 14 novembre 2012.

Sources: Mad Movies hors série numéro 18 (décembre 2011).

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Commentaires
B
Bah regarde d'autres articles et tu verras que je suis loin de ne faire que de démonter. Commence à me gonfler cette réputation d'emmerdeur profond. Certes je dézingue mais je parle aussi de bons films.
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L
Aha comme tu démontes, jamais rien ne trouve grâce à tes yeux ? ^^. Smash j'ai vu les premiers épisodes, j'aimais bien XD
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B
Tant mieux c'était le principe! En espérant te revoir sur ces pages!
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L
Je radote : excellent dossier, j'ai appris plein de choses sur ce grand bonhomme du cinéma. Merci !
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