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Cine Borat
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  • Sur ce blog, je vous parlerais de cinéma (plus de 2500 films cultes comme navets abominables, ainsi que son actualité), de séries, de bandes dessinés (mangas, comics ou franco-belge), de jeux vidéo et de rock!
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11 septembre 2014

Cuvée qui va au bout de mes rêves

Désolé pour cette absence de quelques jours, ayant eu de nombreux problèmes informatiques (orage ayant vraisemblablement déglingué ma livebox, sans compter l'ordinateur qui n'arrivait pas à se connecter après, vraisemblablement un problème de ligne) et mon réseau étant misérable sur smartphone en dehors de la ville (là où je n'habite pas donc, car le Borat aime la campagne, les oiseaux et surtout se tape moult allergies au fil des années au point de se faire appeler Atchoum!), je n'ai pu communiquer réellement. Nous avons beau être en septembre, l'été ne s'arrête que le 23 septembre et ne vous inquiétez pas, "Retour vers l'été passé" est à son avant-dernier rendez-vous mais il y a encore de quoi faire. Car même si Borat a fait de meilleurs choix dans ce qu'il devait voir, il y a toujours du navet quand ça lui chante. Il entre dorénavant dans les 2010's, années bourrées à craquer de reboots, remakes, préquelles, spin-off et tout ce que tu veux cher lecteur. Entrons donc dans une nouvelle ère, pas forcément différente de la précédante.

"Bon Borat on est un peu en retard sur le planning d'une semaine. -Je sais Doc mais il ne reste qu'un numéro et on y est. Tu sais l'informatique... -Oui je sais c'est comme la mécanique il y a toujours une couille dans le gigot! Allez partons pour le 23/06/2010!"

Il me semble qu'à partir de l'été 2010 le prix de la Fête du cinéma a été fixé, plus besoin donc d'aller systématiquement chercher son passeport et de voir un film avant de payer moins cher. Ce qui en soi, permis aux spectateurs occasionnels de ne pas se faire avoir. C'est dans ces malheureuses conditions que j'avais il me semble été voir Cop out de Kevin Smith. Je connaissais Smith pour l'effronté mais pas non plus génial Dogma ou ses interventions dans des BD ou films, et j'avais entendu parler de plusieurs problèmes de production. Vraisemblablement Bruce Willis serait un vrai casse-pied qui surfait son image (ce qu'on a pu voir récemment avec sa demande de cachet improbable sur Expendables 3, ce qui lui a valu un beau fuck de Stallone) et le film fut une tellement mauvaise expérience que Smith est revenu à des productions plus modestes mais qui lui ont été plus rentables (je pense à +). En clair un très gros navet où il ne se passe rien qu'on a déjà vu, un buddy movie horriblement naze où le sidekick comique ne fonctionne jamais (Tracy Morgan, pillier de 30 Rock pourtant pas connue pour être la plus nulle des sitcom du paf ricain), ni l'autre (Seann William Scott qui attendait probablement American Pie 4 ce qui ne l'a pas arrangé des masses, alors maintenant il attend Road Trip 2 ou Et mec où est passé ma caisse encore une fois!) et aux gags au combien poussif. Ainsi durant tout le film, Morgan croit que sa femme le trompe alors il met une caméra dans un nounours, ce qui évidemment paraît voyant à quinze mille surtout quand vous n'avez pas d'enfants! Alors évidemment elle joue dessus et invite son cousin pour simuler une scène de baise avant de tout dévoiler à son mari, qui n'a franchement pas l'air con. Voilà comment on peut résumer l'humour de ce film.

Top Cops : Photo Kevin Smith, Rashida Jones, Tracy Morgan

"On est pas bien chez Borat? -Tu parle il dézingue le film depuis un paragraphe et tu voudrais être heureux? J'en aurais honte plutôt."

Je crois d'ailleurs que c'est le seul film que j'ai vu lors de la manifestation, tellement le choix était médiocre. Splice m'avait bien plu à sa sortie, mais j'ai vite vu un gros lot de critiques négatives à son encontre. Néanmoins je continue de trouver que c'est un bon film, avec des effets-spéciaux pour le moins bons (surtout pour une production n'ayant rien d'hollywoodienne et co-produite entre les USA et la France avec d'un côté Joel Silver, de l'autre Gaumont) et des thèmes adultes qui ne sont pas sans rappeler un certain David Cronenberg. Que ce soit dans la notion de "Nouvelle Chair" (coucher avec une créature hybride, qui plus est que vous avez créée) ou le côté apprenti-sorcier qui lui a si souvent permis d'atteindre des sommets (le cas le plus évident restant La mouche). Deux jours plus tard, j'allais voir le dernier Shrek (enfin de ce qui se dit, parce que Jeffrey Katzemberg, pas le plus follichon des producteurs hollywoodiens surtout pour se faire du blé avec des franchises, a évoqué il y a quelques temps d'en produire un cinquième). S'il ne se révèle pas aussi vide que le précédent (dont on évitera de parler en long, en large et en travers), il n'est pas non plus très convaincant. Car si le postulat de départ est très intéressant (Shrek va dans un monde parallèle où il n'est rien pour Fiona, où le Chat Potté est empotté et où le roi est un nain), le reste ne l'est pas tellement et le film se suit avec un ennui poli.

Shrek 4, il était une fin : Photo Mike Mitchell

"Hé le gros tu vas me faire un régime de suite! Sinon je te vire avec mes grands sabots! -Mais je ne bois que du lait! -Tu te foutrais pas un peu de ma gueule?!"

En revanche, ce ne fut pas le cas de Toy Story 3. Vu en avant-première un dimanche matin, je me suis rappelé à quel point les deux premiers m'avaient au combien subjugué. Le premier est un de mes premiers souvenirs de films grâce à la sacro-sainte VHS avec les deux figurines de Woody (la pauvre a perdu la tête) et Buzz (que j'ai gardé en décoration de ma chambre). Le second fut mon deuxième film vu au cinéma, soit un excellent souvenir s'il en est vu que c'est le premier grand film que j'ai vu en salles (Tarzan de Disney ne pouvant se faire un tel statut, malgré que je le trouve sympathique). Voir Toy Story 3, film que j'attendais depuis de très nombreuses années (s'il y a bien un film que j'ai attendu durant très longtemps et avec une impatience certaine au fil des 2000's ce fut bien celui-là), s'avèrait un énorme événement et s'il y avait un film à voir en 2010 c'était celui-là (ou The Social Network, mais ce n'est que mon avis). Véritable roller-coaster d'émotion (il est rare que je pleure devant un film d'animation, celui-ci en fait partie), aventure qui ne fait pas dans la redite tout en revenant sur des idées exploitées dans les deux opus (l'abandon des jouets, le fait de voir son propriétaire partir, l'amour d'un enfant pour un jouet) et surtout est le dernier chef d'oeuvre du studio (Cars 2 est sympa, Brave leur seul navet à ce jour et Monstres University une fort bonne préquelle). Surtout on voit à quel point le fait d'avoir enchaîner des projets très différents entre le second et le troisième opus a aidé Pixar dans leur ambition visuelle et permis à Toy Story 3 d'être un des plus beaux films d'animation depuis le début de la nouvelle décennie sans être égalé une seule fois dans son domaine (l'animation en images en synthèse).

Toy Story 3 : photo Lee Unkrich

Ken une poupée qui a le rythme dans la peau.

En revanche, quelle déception avec Predators. Survendu, ne savant pas où se foutre dans la saga (remake du premier? Reboot? Suite? Sequelle?) et sans ambition (les soi-disants rajouts comme des créatures-sangliers ou volières apparaissent moins de cinq minutes dans tous le film et la plupart des plans est dans les différentes bandes-annonces), ce film est surtout une immense arnaque où le spectateur se demande plus d'une fois "c'est mieux ou moins bien que les Alien VS Predator?", ce qui n'est en rien un compliment. Et évidemment qui dit Predator au pluriel en dit beaucoup. Malheureusement, on doit en voir trois à tout casser! A moins que le titre n'évoque nos cocos se retrouvant dans la galère, à savoir des agents de la CIA, Mossad, pédophile, serial killer ou mercenaires! Faut aussi voir la gueule de porte-bonheur (il faut bien rendre à McT ce qui est à McT) des cocos, Topher Grace en serial killer, voilà de quoi rigoler lui qui était déjà un beau tocard dans Spider-man 3 avec un rôle en or (il est loin où il brillait dans That 70's show). Moins décevant avec Inception qui emprunte quand même plusieurs idées à Dreamscape (qui vient juste de sortir en BR) et Paprika pour ne citer qu'eux. Malheureusement certains critiques ayant oublié ces titres (en même temps on peut faire le même rapprochement avec tous les films de QT, ovationnés alors qu'ils pompent tous à tord et à travers) et Inception de passer pour un très grand chef d'oeuvre. Il en est néanmoins qu'après sa première vision, Inception n'est pas aussi grandiose que ça et souffre justement du rapprochement avec les deux oeuvres précitées dont la seconde est bien plus pertinente et visuellement fouillée dans sa thématique (animation aidant aussi il est vrai).

"Quand il me prend dans ses bras... -Mademoiselle Cotillard je n'ai rien contre vous mais si vous pouviez arrêté de chanter du Edith Piaf, cela serait gentil! Je n'ai rien contre Piaf, mais j'en ai ras le bol de vous entendre chanté La vie en rose!"

Ce qui est un peu dommage au vue de l'ambition de la chose et de son casting irréprochable (jusqu'à Marion Cotillard qui n'est pourtant pas très aimée dans ses colonnes, crédible en emmerdeuse finie ce qui peut être comme un compliment ou non!) et visuellement intéressant (l'explosion de la station enneigée n'est pas remplie de CGI par exemple, une maquette ayant réellement servie à être explosée, à l'image de l'explosion de l'hôpital dans TDK avec un vrai bâtiment défoncé à la TNT!). Reste un divertissement de bonne qualité, même si de Nolan on s'attendait à un petit peu mieux. Autres déceptions avec Night and day valant surtout pour l'auto-parodie de Tom Cruise en tant qu'homme d'action; et Expendables où les gros bras de Stallone ont bien du mal à convaincre qui plus est avec des retournements de situation ridicules, faisant valoir au second une légère hausse de qualité, comédiens engagés aidant, tout en restant un navet. Même pas essayé de voir le troisième qui se serait fait copieusement dézingué à la fois par la presse et par un grand nombre de spectateurs (mes camarades blogueurs Jamesluctor et 2flicsàmiami peuvent vous en reparler des heures). Bien plus fun et décomplexé, voici venir Piranha 3D d'Alexandre Aja, une des fines fleurs du cinéma de genre français mais restant aux USA. Le voici donc aux commandes d'une série B avec tout ce qu'il faut en plans cul et nichons pour la bonne rigolade et assumant son concept.

Piranha 3D : photo

Pour vous les hommes, ne me remerciez surtout pas.

En revanche, les effets-spéciaux digitaux ne sont pas aussi convaincants que les maquillages gore à souhaits de Greg Nicotero, en raison de ce cher Bob Weinstein qui a préféré engager des mecs travaillant pour Syfy et n'ayant jamais ramené de plans finis! Des anecdotes croustillantes en cascade que l'on peut retrouver sur le BR du film non dans le making of hyper promo mais dans un bonus exclusif de l'édition française où les deux larrons évoquent leurs déboires. Tout aussi réjouissant avec The town, confirmant que Ben Affleck continuait sa reconversion avec succès. Même si le scénario est pour le moins déjà vu, le film s'avère efficace et convient parfaitement à une soirée du dimanche bien garnie. La fin du mois de septembre est moins convaincante. Le dernier exorcisme a beau être un minimum potable il n'en reste pas moins impossible à faire en tant que found footage logique (comment une gamine peut tenir une caméra tout en n'ayant aucun mouvement saccadé quand elle dézingue un chat?!). Les Runaways est un biopic trop classique allant trop dans la vision "de A à Z" et si Dakota Fanning revient d'entre les morts, Kirsten Stewart ne délivre pas une grande prestation non plus, ne lâchant malheureusement jamais son gimmick de la "ventouse". Quant à Hors la loi, si Indigènes touchait au but, là il n'est jamais le cas.

"Borat, je crois que nous sommes tombés dans la dimension jeux-vidéos! Mais ne t'inquiète pas le pilote va tout de même au 6/07/2011!"

L'été 2011 vous paraîtra quelque peu décevant en terme de chifres, peut être aussi parce que les propositions n'étaient pas réellement convaincantes. C'est un peu ce qui s'est passé cette année mais aussi en 2011. Il faut dire que j'ai aussi raté quelques films que je me taperais en streaming ou en DVD en bien (Rise of the Planet of the apes, le dernier Harry Potter) comme en mal (Green Lantern, Conan). Ainsi pas grand chose à se mettre sous la dent ou tout du moins j'ai préféré tomber sur le moins de mauvaises surprises possibles. Case départ est un premier coup sympathique pour Thomas Ngijol et Fabrice Eboué, jouant sur les clichés des négriers avec amusement tout en gardant un côté fun. Néanmoins Le crocodile du Botswanga, leur second coup, sera plus amusant. Puis après la bérézina du mois de juillet, j'ai été voir Cars 2. Dézingué par la critique, pas un grand succès public, je me souviens m'être offusqué à sa sortie. Pas à cause du film mais de certaines critiques abusives. En gros, à l'époque on retrouvait souvent le même genre de titre à savoir: "Pixar s'est enfin planté". A croire que ceux qui les avaient adulé s'étaient exaltés de pouvoir les dézinguer. Juste pour le plaisir de le faire. Rien d'objectif là-dedans et pourtant c'est ce que l'on demande à la critique.

Case départ : photo

"Oh non on est enfin dans la Cave de Borat! -Mais qu'est-ce qu'on a fait au bon dieu?"

Je m'attendais donc au pire avant de le voir, certains allant carrément au terme "Navet". Je l'ai vu deux fois: une fois seul au cinéma, une seconde fois avec ma petite cousine. Si le film n'est pas non plus un chef d'oeuvre (mais peut-on ne serait-ce que regretter cela ou s'en réjouir, après une décennie quasiment sans faute et à un tel niveau d'innovation que même Disney n'arrivait plus à tenir avant l'arrivée miracle de John Lasseter?), il n'est en aucun cas un navet et encore moins un mauvais film. Juste un film très enfantin et qui n'est pas forcément dans les bons tuyaux du studio. En tous cas toujours meilleur que le film qui suivra et qui ne sera pourtant pas une suite (ce qui a notamment été repproché à Pixar alors que l'année d'avant les critiques avaient ovationnés comme des porcs Toy Story 3!). J'ai été très déçu par Super 8 en revanche. Le film de JJ Abrams se veut un hommage au cinéma d'Amblin, se fait même parrainé par Steven Spielberg, mais n'a finalement rien à dire. Le film se cherche constamment entre chronique adolescente (les gosses jouent très bien) et récit de science-fiction pas forcément gentillet. Sauf qu'à force, le film fait trop dans l'hommage et oublie l'essence du studio: une bonne histoire. Malheureusement, le contenu le plus sympathique est encore le film des gosses.

Cars 2 : Photo Brad Lewis, John Lasseter

"On peut dire que Borat a mis le paquet pour sauver Cars 2."

Place dorénavant à la pantalonnade avec Bridesmaids. Enfin une comédie-romantique qui ne cherche pas le féminisme à deux balles et encore moins à les montrer en train de se faire sauter toutes les deux secondes. Non ici elles racontent des conneries, ne couchent quasiment pas et font énormément de conneries. Alors certains trouveront que c'est vulgaire (on arguera toujours que Judd Apatow est à la production, soit l'argument bateau par excellence, Apatow ayant toujours montrer des visions du quotidien pour le moins proche), d'autres que c'est finalement un film pour homme et ce malgré que ce soit écrit par des femmes. Mais bon, cela vaudra toujours mieux que voir Sarah Jessica Parker se faire prendre par le premier venu à New York. Plus pétaradant, voici venir Captain America de Joe Johnston, quatrième film de ce que l'on appélera la Phase 1 de la Marvel Cinematic Universe. Je n'avais pas voulu voir Thor parce que cela avait l'air franchement nul (quand je l'ai vu en DVD l'an dernier j'ai vite compris que j'avais raison), mais Captain America m'intéressait. Déjà parce que cela avait l'air moins nanar que chez Cannon, mais surtout parce que le personnage est loin d'être inintéressant dans les comics. Plus qu'un vulgaire patriote comme il l'était dans les premiers comics, c'est surtout un homme qui revient à la vie et a tout perdu.

Captain America : First Avenger : Photo Chris Evans, Joe Johnston

Ce n'est pas un avion, ce n'est pas Usain Bolt, c'est Captain America!

Il a quitté sa belle pour la guerre, il se retrouve finalement seul dans un monde qui ne lui correspond pas. Si ce dernier aspect n'est montré que dans la dernière séquence, il le sera davantage dans Avengers et surtout The Winter Soldier. En revanche, la mélancolie se fait énormément ressentir dans le final, donnant au Captain un intérêt sentimental incroyable. On ne pensait pas forcément voir ça dans un film Marvel Studios mais c'est bel et bien le cas. Ensuite, le film est un pur divertissement, un film type serial. On regrettera néanmoins des effets-spéciaux souvent trop voyants et un prologue qui dézingue le film dans son processus, faisant du contenu réel une sorte de flashback complet. Je terminerais sur Crazy, stupid, love, seul film de septembre à avoir été vu avant la fin de l'été 2011. Une comédie-romantique que j'aime énormément non seulement pour son casting (Steve Carrel retrouve son aura mythique de Droopy, Ryan Gosling capitalise à fond sur son statut de sex-symbol) et ses dialogues (les tablettes de Ryan qui passent pour du photoshop pour Emma Stone, Ryan balançant en VO que les poches sous les yeux de Carrel ressemblent aux baloches d'Hugh Hefner!) et que je ne regarde dorénavant uniquement en VO. Un plaisir que même le final un brin moralisateur n'a pas altéré. Allez à la semaine prochaine!

"Borat un conseil avant de finir la chronique: tu vaux mieux que GAP!"

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Commentaires
T
Heureusement qu'il y a le ciné effectivement, pour ma part : Boyhood, Big Bad Wolves, Mister Babadook, Je voyage seule, Jimmy's hall ou plus récemment Les combattants (oui, c'est un peu studieux, sans blockbusters).<br /> <br /> J'ai hésité à aller voir Sils Maria mais j'ai un mauvais pressentiment bizarrement.
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B
C'est la première fois que j'ai autant d'emmerdes. Oui clairement je crois que peu de critiques ont cité le film de Satoshi Kon et bien malheureusement je crois qu'il est mort la même année.<br /> <br /> Oui la fin de Crazy... est un peu raté comme si le duo de réalisateurs n'avait pas su comment conclure le film.<br /> <br /> Je ne dis pas que Super 8 n'est pas émouvant mais il échoue dans un hommage trop pompeux.
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T
Déjà, en ce qui concerne ta livebox, je compatis, les orages m'ont bien emmerdée pendant ces deux mois d'été !<br /> <br /> Alors parmi les films que tu cites, j'ai vu (ciné ou non) :<br /> <br /> - Toy Story 3 : un retour vraiment très réussi, divertissant, fun, inventif et émouvant.<br /> <br /> - Inception : un bon blockbuster mais surestimé. Effectivement, pourquoi parler de chef-d'oeuvre alors que Nolan s'est vraiment un peu trop inspiré de Paprika et même plus généralement de l'univers de Philip K. Dick ? Et Cotillard est pas trop mal mais y a pas de quoi en faire un foin non plus.<br /> <br /> - Bridesmaids - c'est vrai que ce titre français est naze - : c'est fou comme je me reconnais dans ta description des gens qui n'aiment pas ce film ;) <br /> <br /> - Runaways : Assez déçue. Certes, Fanning et même Stewart s'en sortent pas mal mais c'est vraiment inintéressant et surtout j'ai trouvé le personnage de Joan Jett très en retrait, limite comme une sainte qui a inventé I love rock'n'roll. Trouvant cela bizarre, je m'étais renseignée et... ohhh comme par hasard Madame a supervisé le film, normal du coup qu'on ne parle pas trop d'elle en mal dans ce film...<br /> <br /> - Captain America : Je ne suis pas forcément fan des films de super-héros (enfin c'est pas que je suis pas fan, c'est juste que pour moi c'est pas un événement et je ne m'y intéresse pas assez) mais là bonne surprise en ce qui me concerne. <br /> <br /> - Crazy Stupid Love : Une bonne surprise, le scénario est assez original et surprenant, les acteurs sont tous bons et l'ensemble frais et drôle. Je regrette juste quelques longueurs et une fin un peu guimauve mais j'ai quand même beaucoup aimé ce film.<br /> <br /> - Super 8 : je ne devais pas aller le voir (mais j'ai raté la séance de This must be the place), donc je ne savais même pas de quoi ça parlait quand je suis allée le voir à la dernière minute. Pour moi une bonne surprise, même si à sa sortie je l'avais un peu surestimé. Mais en le revoyant la dernière fois sur la 2, je le trouve tout de même vraiment sympa, attachant, parfois drôle et la fin assez émouvante. Après effectivement l'hommage tue l'hommage.
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B
Il y joue un millionnaire ayant cherché à emmener deux frères lutteurs aux JO. Le problème c'est que le type était schizophrène et le drame a fini par arriver. Il s'agit d'une histoire vraie et le film a eu droit au prix de la mise en scène à Cannes. Un des rares films intéressants du palmarès.
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A
ah... à voir donc... quand il sortira...
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