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Cine Borat
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  • Sur ce blog, je vous parlerais de cinéma (plus de 2500 films cultes comme navets abominables, ainsi que son actualité), de séries, de bandes dessinés (mangas, comics ou franco-belge), de jeux vidéo et de rock!
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28 février 2015

Cuvée cinéma cinéma

La Cave de Borat a souvent été l'occasion d'évoquer des expériences rock'n rollesques comme agréables de votre cher interlocuteur dans les salles obscures. Mais qu'en est-il des cinémas qui ont façonné sa cinéphilie au fil des années? Cette cuvée sera donc consacrée aux cinémas, ceux qui nous permettent de découvrir des films, d'en revoir parfois par la même occasion, parfois d'y aller à la bourrine en espérant que ce soit bien, d'y aller en famille, seul ou tout seul. En sachant que l'expérience cinématographique est toujours intime et permet de débattre... enfin quand il est nécessaire de le faire. Cuvée nostalgique, cuvée cinématographique, cuvée salles obscures droit devant! Evidemment, comment ne pas évoquer ce fameux Kinépolis de Thionville qui m'a autant servi que pas du tout. Que ce soit dans ses choix de films ou ses diffusions abusives (il est amusant de voir des films débutant leurs exploitations en deuxième séance, c'est terriblement logique). Kinépolis, le géant belge du cinoche, et moi, le petit lorrain, une histoire d'amour-haîne qui dure depuis dorénavant quinze ans et ce n'est probablement pas fini. Pour cela, il faut revenir aux origines. En janvier 2000, je découvrais mon premier film au cinéma (Tarzan mais je vous en ai parlé des tonnes de fois), une expérience hors norme, énorme salle (probablement la salle 1, celle où on rentre du côté gauche et sort... du côté gauche!), THX qui cassait la baraque, explosion visuelle (tu passe quand même du petit écran de ta télévision et Dieu sait qu'elle était petite, à un énorme écran de cinéma, c'est comme passer de l'ADSL au haut débit!).

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Un autre monde s'ouvrait avec ces bandes-annonces qu'habituellement tu vois avec du bol sur VHS alors que le film est alors en passe de sortir au cinéma. Je n'ai pas forcément été très régulier avant au moins un an mais je dois avouer que mes premières expériences sont assez marquantes allant de Toy Story 2 à Pokémon le film en passant par Chicken Run et Dinosaures. Des classiques pour moi à l'époque! Une époque où je collectionnais les carnets de cinéma, ceux où on regardait les séances. L'occasion de découvrir des films que je ne verrais peut être que bien plus tard à l'image d'En pleine tempête ou Titan AE. Mais rapidement je me suis rendu compte que les films parfois annoncés dans les carnets ne passaient pas au Kinépolis. Ils étaient là pour faire joli. Encore mieux, il est arrivé de plus en plus fréquemment au fil des années que ce cinéma mette des affiches, parfois très imposantes dans le bâtiment sans même le diffuser ne serait-ce qu'une seule fois. Par exemple, The world's end d'Edgar Wright n'est jamais passé à Thionville, ce qui n'a pas empêché l'affiche de traîner là de début août au 31 octobre, alors que le film était sorti depuis le 28 août! Idem pour La crème de la crème avec affiche mis deux à trois semaines avant sa sortie puis rien. Et quand on fait dans la magouille autant y aller franco hein?

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Genre diffuser un film deux semaines après sa sortie parce qu'il a dépassé le million d'entrées! Ce fut le cas pour Twelve years a slave. Et puis Kinépolis Thionville c'est aussi une bonne rigolade de problèmes techniques. Pour Princesse Mononoké en octobre 2001 (déjà que j'aurais mieux fait de me tirer une balle dans le pied, n'ayant franchement pas l'âge adéquate), un orage grondait (l'art de l'insonorisation dans un multiplexe, pléonasme suprême...) engendrant des problèmes d'electricité et en soi de projetion. Les bandes-annonces ont donc eu du mal à se montrer. Passer cela le film a eu du mal à démarrer. Par la suite, point de problèmes mais c'était plutôt pas mal. Pour LOL (oui le Borat a eu aussi quelques casseroles voire énormément de casseroles avec son consentement total), la séance a été totalement annulée suite à un problème technique empêchant la diffusion. Pour Entre les murs, votre cher Borat s'est retrouvé dans une alerte à la bombe (heureusement ce n'était rien). Evidemment pour ces deux cas, remboursement immédiat. Mais d'autres fois la galère a duré longtemps. Ce fut le cas sur Watchmen et The reader. Par un souci de projecteur ou je ne sais quoi, l'image n'était pas bonne du tout. Je m'explique. Vous avez la projection du film, tout va bien. Sauf quand la partie du haut de l'image se trouve en bas de l'écran et que le bas de l'image se trouve en haut de l'écran.

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Pour vous donnez une vraie idée de la chose, imaginez que la tête de Ralph Fiennes soit en bas et que ses pieds sont en haut de l'écran! Si cela n'a duré que sur la scène de la prison pour Watchmen, la moitié de The reader est passée à la trappe. La dernière fois que Kinépolis a osé me faire le coup fut direct. Après tant de mésaventures, il est parfois temps de passer à l'action. Alors que c'était une avant- première, l'image de Hunger games: L'embrasement avait été tellement zoomé que l'on ne voyait rien. En gros, imaginez que vous avez un plan et que l'on aurait zoomé au centre de ce plan. Pour un multiplexe qui se veut aussi compétitif sur les prix (8.5 si vous avez une carte étudiante et si vous ne la présentez vous pouvez toujours aller vous faire voir si j'y suis; et encore mieux 5 au lieu de 4 pour les -14!), il y a comme du laisser-aller. Evidemment, il n'y a pas que des malus, mais disons qu'avec ce taux de défauts, j'apprécie de moins en moins d'aller là-haut et si j'y vais c'est principalement avec mes amis du lycée. Ce fut également l'occasion de voir le concert de Metallica à Nice, le concert (ahrem) des Red Hot Chili Peppers pour leur nouvel album et ce bon vieux Ghostbusters en salles. C'est là aussi où j'ai vu la plupart des Fincher de la précédente décennie à commencer par Zodiac en mon sacro-saint jour d'anniversaire (de quoi réparer l'affront Da Vinci Code).

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Là où j'ai vu un paquet de purges comme de chefs d'oeuvres, que j'ai pris mes premières claques sur grand écran, que j'ai goûté à la 3D en mal (oh purée Le choc des titans que je ne voulais absolument pas voir ainsi mais obligation du cinéma) comme en bien (Gravity et Avatar pour ne citer qu'eux). Que j'ai mangé pour la première fois du pop corn, que j'ai ronflé devant L'interprète parce que j'avais la fièvre, que j'ai failli m'endormir plus d'une fois devant Lincoln tellement c'était chiant. Là aussi où j'ai grugé à neuf ans pour voir un Daredevil interdit aux moins de 12 ans et même chose pour Banlieue 13 et Underworld 2 (oh que le Borat a été con!). Bref, Kinépolis c'est le bonheur et la raillerie en ce qui me concerne, permettant tant mais si peu. L'autre cinéma que j'ai fréquenté par chez moi fut La Scala. Fut car son emplacement n'est plus du tout le même aujourd'hui, que le cinéma a été totalement rénové (et ravissant comme vous pouvez le voir) et que les conditions sont dorénavant bien meilleures. La première fois ce fut pour Le journal d'Anne Frank alors que je devais avoir dans les 5-6 ans! Les moniteurs de mon centre-aéré avait eu l'idée de génie de nous emmener voir cette adaptation du journal autobiographique de la jeune hollandaise sous prétexte que c'était un film d'animation! Autant dire que les mômes avec moi n'étaient pas très convaincu de ce qu'ils voyaient, ne comprenant strictement rien. Comment voulez vous que des gamins à peine sortis de la maternelle soient capables de comprendre les drames engendrés par le IIIème Reich?!

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Par la suite, au collège mon établissement m'avait fait voir le terriblement chiant L'armée du crime et en avait rajouté une couche en ne parlant quasiment que de ce film pendant l'année. A croire qu'il n'y avait pas plus intéressant que ça. Bon cela m'a permis de voir la miss Virginie Ledoyen dans le plus simple appareil (une fois de plus...) et ça c'est unique. Je me souviens aussi d'une projection de films documentaires. Je tiens à dire que je n'ai rien contre le documentaire, mais alors là... Entre les éleveurs qui en avaient marre que leurs moutons se fassent bouffer par les loups et les vélibs des Titi parisiens, cela va deux secondes mais cela durant deux heures peut s'avérer fort pénible. Bon, cela nous avait permis de rire avec les copains. En terminale, ma prof d'espagnol nous avait fait voir le film mexicain Norteado. Film plutôt pas mal sur l'immigration malgré quelques notes d'humour pour le moins cocasse. Avec un de mes amis, on avait bien rigolé devant la manière qu'avait le réalisateur de montrer que son personnage principal est un beau tombeur! Juste avant sa rénovation, j'avais eu la chance de pouvoir voir Killer Joe au cinéma qui plus est en VO. Un bonheur d'entendre enfin le foutu accent texan de l'ami McConaughey et de voir enfin un film de William Friedkin en salle. Surtout quand il s'agit d'une très grande réussite.

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Je me suis mis à le fréquenter qu'il y a quelques mois une fois totalement renové et changé de place donc. En sachant que comme vous avez pu le lire, les films étrangers sont diffusés en VO ce qui vaudra aux cinéphiles ardus une reconnaissance éternelle. Tout d'abord avec The homesman, puis Maps to the stars, The rover, Jersey Boys (dans une salle vide), Boyhood, Sils Maria et la dernière fois le mois dernier avec Whiplash. Pas un seul mauvais film même si certains sont moins forts que d'autres et surtout que j'ai pu rattraper alors que mon multiplexe ne les avait pas diffusé (à l'image de The homesman dont l'affiche trônait aussi depuis de nombreuses semaines, mais bon je crois que vous avez compris...). Un cinéma que j'apprécie particulièrement et qui a des prix attractif, cinéma art et essai oblige. Tant mieux si ce genre de cinémas réussi à survivre face aux gros multiplexes. Largement plus loin de chez moi se trouve le Gaumont d'Amnéville auquel je suis allé trois fois exactement. Malgré que j'ai déjà arpenté ce cinéma (plus grand que le kinépolis en terme de salles puisqu'il en a deux de plus, donc synonyme de films en plus), ce nombre correspond aux films vus. Le premier fut Les choristes. Pas que je ne pouvais pas le voir à Thionville mais cela était venu ainsi à mes parents et c'était une période où nous allions beaucoup dans cette belle cité touristique.

Le cinéma, les thermes, les restaurants, le zoo, le Galaxy (même si je n'y ai jamais foutu les pieds), autrefois l'Imax (on en reparlera juste après) dorénavant le snow hall... De quoi se promener tranquille. Puis bien des années plus tard en juin 2009, j'avais vu que Les beaux gosses de Riad Sattouf était diffusé à Amnéville et je m'étais dit que peut être mes parents pouvaient venir le voir avec moi. Cela leur a plu autant qu'à moi. Là pour le coup je fus bien content d'avoir ce cinéma pour voir ce film. Le dernier que j'ai vu là bas fut Skyfall avec mon oncle le soir de sa sortie. En bons fans de l'agent 007 nous avons été le voir ensemble et comme il avait des tickets moins chers c'était la bonne occasion. L'Imax d'Amnéville donc (et posté juste en face du Gaumont) fut plus rare même si à l'époque il me permettait de voir des bandes-annonces alors que j'étais dans le resto d'en face (découvrir pour la première fois Star Trek via la BA de Star Trek Nemesis!). Disons que c'était inévitablement pour des productions documentaires ou jouant sur les petites productions en 3D. Pas de quoi s'emballer dans tous les cas même si le spectacle est sympathique. Je me souviens avoir vu un doc sur la conquête spatiale de la NASA et d'un autre sur les insectes. Je crois en avoir vu un autre mais je ne m'en souviens absolument pas. L'Imax était un beau batiment avec des affiches partout à la fois pour les films projetés mais aussi d'anciens films ayant utilisés le procédé.

L'Imax du temps de sa splendeur.

On citera La Belle et la Bête et Le roi lion pour Disney ou le moyen-métrage Les ailes du courage de Jean Jacques Annaud. Ce qui est dommage car des films intéressants sont sortis depuis dans ce procédé on pense aussi bien aux derniers Batman, comme les deux derniers Hunger Games ou Mission Impossible 4. Manque de pot, non seulement l'Imax ne les a pas diffusé mais en plus il a fermé ses portes dans le plus grand anonymat. Bien triste... Au cours de mes voyages à Hossegor j'ai pu goûter au cinéma par deux fois, qui plus est sur deux ans de suite et deux adaptations de comics. Par ailleurs, il s'agissait à chaque fois d'avant-premières attendues et blindées de monde alors même que les gens sont en vacances moi y compris. L'occasion de découvrir les joies du sympathique Rex. Ainsi j'ai découvert avec plaisir The Dark Knight Rises en 2012 et The Wolverine (malgré la 3D obligatoire) en 2013. Depuis que je suis à la fac, je fréquente quasi-quotidiennement les cinémas de Metz, ces petits cinémas de quartier qui ont parfois des films qui ne sont pas à Kinépolis (ou vice versa c'est déjà arrivé) et ont des prix attractifs me permettant de profiter pleinement de ma passion. Quand vous payez jusqu'à trois euros de moins sur un même tarif étudiant, vous êtes contents!

Je fréquente davantage le Palace que le Caméo mais en fait tout dépend de la programation, le premier étant plus grand public (enfin tout dépend certains cas), le second plus art et essai. Il n'en reste pas moins que les deux cinémas sont classieux comme le confirme leur deventure. J'ai plaisir à y aller avec mes amis de la fac et j'ai pu voir bien plus de films qu'au Kinépolis depuis janvier si je dois bien regarder. Trois contre cinq pour tout vous dire. Pour vous donner une idée depuis que je suis à la fac, j'ai été voir dans ces deux cinémas: 

  • Casse tête chinois de Cédric Klapisch (premier film au Palace!)
  • La reine des neiges de Jennifer Lee et Chris Buck (alors que tout le monde allait voir The Hobbit que j'ai vu le week end suivant en HFR!)
  • A touch of sin de Jia Zhang Ze(premier film au Caméo!)
  • Twelve years a slave de Steve McQueen (que Kinépolis mettra deux semaines à diffuser, admirez un peu la logistique)
  • Minuscule de Thomas Szabo et Hélène Giraud (que j'avais vu lors du Printemps du cinéma, c'est dire si le film a eu une bonne exploitation)
  • La Belle et la Bête de Christophe Gans (dont j'avais été au Palace parce que mes potes de lycée ne voulait pas y aller!)
  • Les trois frères le retour des Inconnus (si j'avais su j'aurais été voir autre chose...)
  • The grand budapest hotel de Wes Anderson (le genre de film que l'on est bien content de voir en salles)
  • Her de Spike Jonze (il aurait été con de rater une séquence de chatroulette aussi drôle!)
  • La crème de la crème de Kim Chapiron (où j'avais bourriné comme un malade sous la chaleur, partant de cours à la sauvage, avant d'enchaîner ce film et de revenir sur le campus pour voir une pièce!)
  • Dawn of the Planet of the apes de Matt Reeves
  • Gemma Bovery de Anne Fontaine (quand Luchini le philosophe le plus délirant du cinéma français rencontre Miss Arterton une des plus belles créatures du cinéma britannique)
  • Sin City: j'ai tué pour elle de Rodriguez et Miller (dans le genre j'aurais mieux fait de m'abstenir ou de m'exciter pour rien)
  • Gone girl de David Fincher (dans le genre j'ai bien jubilé dans mon siège)
  • TMNT de Jonathan Liebesman (c'était bien pour les tortues!)
  • Samba de Toledano et Nakache (quand il n'y a rien, autant tester l'impossible...)
  • Magic in the moonlight de Woody Allen (un au Caméo...)
  • Hunger games 3 de Francis Lawrence (un au Palace dans la même journée)
  • Nightcrawler de Dan Gilroy
  • The search de Michel Hazanavicius (rien tu teste!)
  • La french de Cédric Jimenez (pareil)
  • A most violent year de JC Chandor (j'ai tout fait pour le voir et j'ai réussi à trouver un créno inextremis)
  • Foxcatcher de Bennett Miller (la séance d'après cours typique et la petite déception de ce début d'année)
  • Jupiter ascending des Wachowski (avec quelques plantages au début de séance avec film précédent toujours à l'écran et 3D défectueuse)
  • 50 nuances de Grey de Sam Taylor Johnson (comme disait Gainsbourg: si je baise affirmatif, si je bande no comment!)
  • Birdman d'Alejandro Inarritu (pas plus tard que jeudi dernier)

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Le Palace avec ses affiches de classiques à l'intérieur.

En sachant que c'est aussi au Palace que j'ai passé la soirée d'halloween dont je vous ai parlé il y a quelques cuvées. Malheureusement il se pourrait bien que d'ici la fin de l'année ou 2016 que cela se noircisse sur le cinéma messin. Le Caméo va probablement se faire bouffer par le géant Kinépolis (qui a pourtant un Kinépolis avant la gare, cherchez l'erreur) et ce dernier compte bien déplacer le cinéma d'art et essai au Palace. Donc un Kinépolis qui gardera probablement les mêmes tares financières que ses aînés et qui va nuire sérieusement au Palace qui a une très bonne clientèle (du type qui fait la queue dehors lorsqu'un gros film sort). Une nouvelle qui peine votre cher Borat et beaucoup d'autres devant de telles magouilles financières. D'ailleurs je renvoie à la caricature ci-dessous où un type en santiags et gros cigare censé symbolisé Kinépolis essaye d'écraser les deux petits cinémas. On en est clairement là. Mais en attendant, ces cinémas prospèrent encore sur Metz, preuve en est jeudi où en sortant de Birdman une foule recouvrait toute la salle d'ouverture. Allez à la semaine prochaine!

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Caméo and Palace fuck yeah!

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Commentaires
B
Et pareil pour celui de St julien les Metz...
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2
D'autant plus que le Kinépolis de Moulins les Metz n'est qu'à quelques minutes du Centre.
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2
Tiens, moi aussi j'ai eu le coup du "saut de pellicule" (sauf que ce n'était pas dans un Kiné). C'était sur Rocky Balboa, si mes souvenirs sont bons.<br /> <br /> D'ailleurs, pour rester sur les Kinépolis, c'est super pour les sièges, mais niveau tarif et programmation, en effet, c'est pas toujours ça. En plus, leur entreprise d'expansion dans la région est assez ridicule, tout autant que cette bénédiction qui leur est accordé par le bassin metzin, qui n'a aucun scrupule par la suite à pleurer sur la désertification des centres villes.<br /> <br /> <br /> <br /> Perso, je préfère aller dans les petits cinés, où l'UGC de Nancy Centre. Certes, on est plus à l'étroit et moins bien installé (même si les Caméo de Nancy et le ciné de Pont-à-Mousson sont très spacieux), mais c'est plus convivial.
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T
Wow, ça c'est de l'article ! Comme le dit Princécranoir, j'ai rien de mieux que de regarder un film en salles et c'est bien de rendre hommage aux cinémas, malgré parfois leurs défauts. En tout cas c'est sympa de partager tous tes souvenirs avec photos à l'appui (j'aime bien la déco à chaque fois ! et j'adore le détail qui tue sur la première photo : the rainbow). Par contre, contrairement à toi, mes cinémas n'ont jamais rencontré de problèmes techniques (enfin peut-être mais je n'y étais pas).
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B
C'est pourtant son titre en France: A touch of sin. ;) Je sais bien que tu n'as pas l'âge de 20 000 lieues sous les mers! ;) Cela devait être ravissant sur grand écran.
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